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Acceptabilité

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’acceptabilité sociale des risques est fortement liée à la reconnaissance de leur nature anthropique et à leur gestion à travers un ensemble de procédures, de controverses, d’expertises. Un risque est considéré comme acceptable (ou tolérable) par une personne ou une collectivité lorsqu’elle peut en supporter les conséquences, les dommages, au regard de sa probabilité d’occurrence (aléa). De fait, l’acceptabilité est variable dans le temps et dans l’espace. Les législations et les réglementations, en fixant des normes, des seuils, des compensations, témoignent de ces évolutions et de cette variabilité spatiale et temporelle. Des jeux d’acteurs se nouent autour des enquêtes d’utilité publique, des décisions d’aménagements du territoire, entre associations, décideurs, entrepreneurs, assureurs.

Dans les sociétés contemporaines développées, les catastrophes sont de moins en moins bien acceptées, d’autant plus qu’elles semblent échapper au contrôle des spécialistes et des experts. Le passage à des sociétés plus individualistes a pu favoriser le développement de sentiments d’insécurité, rendant plus intolérable la réalisation du risque (Beck, 2001*)

Une déclinaison économique de cette notion consiste à déterminer le montant maximal que les sociétés sont prêtes à payer pour bénéficier d’une protection contre les risques (consentement à payer - "willingness to pay" ou WTP) ou, sinon, le montant minimal que ces mêmes sociétés sont prêtes à recevoir en compensation de préjudices subis ("willingness to accept" ou WTA). Le consentement à payer peut être mesuré grâce à la méthode d’évaluation contingente. Elle s’appuie sur la réalisation de sondages censés cerner la propension à payer des individus.
Des analyses coût-avantage ou coût-bénéfice sont généralement un préalable à l’évaluation du consentement à payer. Elles permettent de chiffrer le coût d’un ouvrage de protection (calibré pour un aléa d’une intensité donnée) et les bénéfices qu’il induit (indemnisation moindre car les dégâts sont moindres). Ces analyses permettent de trouver le juste calibrage des ouvrages de protection comparativement aux bénéfices escomptés.
De même, l’acceptabilité sociale des pollutions ou des nuisances est variable dans le temps et dans l’espace. Les nuisances sonores d’un aéroport peuvent devenir inacceptables lorsque les rotations des appareils s’intensifient. Les quantités de particules fines contenues dans l’atmosphère peuvent devenir inacceptables lorsqu’on a établi une relation certaine avec des surmortalités. Une eau dont la potabilité peut paraître acceptable dans certains pays du Sud ne le sera plus pour ceux du Nord.

Acceptable risk

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The level of potential losses that a society or community considers acceptable given existing social, economic, political, cultural, technical and environmental conditions.
Comment: In engineering terms, acceptable risk is also used to assess and define the structural and non-structural measures that are needed in order to reduce possible harm to people, property, services and systems to a chosen tolerated level, according to codes or “accepted practice” which are based on known probabilities of hazards and other factors.

Accesibilidad universal

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Condición que deben cumplir los entornos, procesos, bienes, productos y servicios, así como los objetos o instrumentos, herramientas y dispositivos, para ser comprensibles, utilizables y practicables por todas las personas en condiciones de seguridad y comodidad y de la forma más autónoma y natural posible. Presupone la estrategia de «diseño para todos» y se entiende sin perjuicio de los ajustes razonables que deban adoptarse.
(Art. 2. Ley 51/2003 de Igualdad de Oportunidades, no Discriminación y Accesibilidad Universal de las personas con discapacidad, LIONDAU).

Accesibilidad urbana

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Posibilidad de acceder físicamente a los diferentes servicios públicos y privados que ofrece una ciudad, al mercado de trabajo, a las áreas centrales, etc. Ésta posibilidad de acceso viene definida por la proximidad física o por unas buenas redes de transporte público que garanticen efectivamente la posibilidad de acceso de los ciudadanos sin costes excesivos ni en tiempo ni en dinero.

Adaptabilité

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’adaptabilité c’est la capacité d’un système, d’une région ou d’une communauté, à ajuster ses mécanismes et sa structure pour tenir compte des changements environnementaux réels, potentiels ou supposés. L’ajustement peut être spontané ou planifié, il peut se produire en réponse ou en prévision (voir principe de précaution). Cette capacité d’adaptation dépend des ressources écologiques disponibles, des enjeux économiques, des catégories sociales et humaines impliquées.
On peut distinguer l’adaptation de l’atténuation (ou mitigation). Les bénéfices de la mitigation deviendront avec le temps des biens publics également partagés ce qui n’est pas le cas pour l’adaptation. L’adaptation, par contre, ne bénéficie qu’aux agents qui se sont adaptés (souvent des acteurs privés), et à la communauté dans laquelle sont situés ces agents.

Adaptación - Adaptation

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The adjustment in natural or human systems in response to actual or expected climatic stimuli or their effects, which moderates harm or exploits beneficial opportunities.
Comment: This definition addresses the concerns of climate change and is sourced from the secretariat of the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). The broader concept of adaptation also applies to non-climatic factors such as soil erosion or surface subsidence. Adaptation can occur in autonomous fashion, for example through market changes, or as a result of intentional adaptation
policies and plans. Many disaster risk reduction measures can directly contribute to better adaptation.

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Acciones desarrolladas con objeto de hacer frente a las repercusiones del cambio climático sobre la humanidad y los ecosistemas.

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

L’adaptation au changement climatique est définie comme étant "la réaction des systèmes naturels ou anthropiques aux stimuli climatiques réels ou prévus ou à leurs effets, en vue d’en atténuer les inconvénients ou d’en exploiter les avantages"

Agenda Local 21

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

« Programme commun pour le 21e siècle » adopté en 1992 lors de la Conférence de Rio (Sommet de la Terre) par 178 pays. Il liste une série d’actions devant être intégrées aux législations nationales de manière prioritaire pour progresser vers un développement durable, selon ses 3 volets : protection de l’environnement, action économique et développement social. Il se décline à l’échelle locale, sous la forme de recommandations pour les collectivités.

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

El concepto de Agenda Local 21 tiene su origen en la Conferencia de las Naciones Unidas sobre el Medio Ambiente y el Desarrollo o “Cumbre de la Tierra” en Río de Janeiro (Brasil, Junio de 1992); en la cual se adoptó la “Agenda 21” (o Programa 21), el plan de acción global hacia el Desarrollo Sostenible.
La Agenda Local 21 es proceso colectivo finalmente materializado en un Plan de Acción local (en el cual se deben establecer objetivos, metas, instrumentos, acciones, evaluación, criterios y métodos) promovido y desarrollado conjuntamente por las autoridades locales y los ciudadanos en pro del desarrollo sostenible de su comunidad, es decir, con el compromiso de actuar en la mejora ambiental, social y económica del municipio. Los diferentes sectores de la población ha de participar en la elaboración de propuestas para solucionar los problemas diagnosticados a nivel social, ambiental y económico. Las propuestas se transforman en actuaciones concretas a corto, medio y largo plazo, que constituyen el Plan de Acción, con un seguimiento y evaluación constantes.
(Véase http://www.un.org/esa/dsd/agenda21/)

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’Agenda 21 est un programme d’actions ratifié par plus de 170 pays au Sommet de la Terre de Rio en 1992. Il se décline en France à l’échelle des collectivités locales - régions, départements, communes et intercommunalités - en réponse au texte final « Du penser global à l’agir local » qui incitait les collectivités à élaborer des « Agendas 21 locaux ». Le chapitre 28 demandait notamment que « toutes les collectivités locales instaurent un dialogue avec les habitants, les organisations locales et les entreprises privées afin d’adopter un programme Action 21 à l’échelon de la collectivité ». Il est défini aujourd’hui comme « un projet territorial de développement durable » (art. 253 IV du Code de l’environnement). Basé sur la réalisation d’un diagnostic partagé par les différents acteurs et sur l’identification des grandes orientations stratégiques du territoire en matière de développement durable, l’Agenda 21 est soumis régulièrement à évaluation.
En France, un cadre étatique incitatif a été mis en place sous la forme d’une Stratégie nationale de développement durable française en 2003-2008 puis en 2009-2013. Cette dernière assigne à l’Agenda 21 cinq finalités : « la lutte contre le changement climatique ; la préservation de la biodiversité des milieux et des ressources ; la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations ; l’épanouissement de tous les êtres humains et une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables » ainsi que cinq principes de méthode (stratégie d’amélioration continue, participation, organisation du pilotage, transversalité des approches et évaluation partagée).
En 2008, l’association 4D, l’Association des maires de France, le Comité 21 et le ministère en charge du développement durable ont créé l’Observatoire national des Agendas 21 locaux. Dans le cadre du « Grenelle de l’environnement », l’Agenda 21 et un cadre de référence ont été reconnus sur le plan législatif par la loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l’environnement.
Les Agenda 21 locaux français s’alimentent d’autres stratégies et plans d’action thématiques, liés au développement durable comme le Plan climat national, la Stratégie nationale d’adaptation au changement climatique, la Stratégie nationale pour la biodiversité ou encore le Plan national santé environnement.
En 2012, on compte plus de 900 Agendas 21 locaux dont 25 à l’échelle départementale (25 % des départements), 7 à l’échelle régionale soit près d’une région sur 4 et 35 projets qui concernent des agglomérations et communautés urbaines. 23 chartes de parcs naturels régionaux sont également reconnues (INSEE, 2013). A cette échelle, l’Agenda 21 est un document stratégique, partagé et évolutif. Son élaboration implique une réflexion transversale entre les différents services et les différentes politiques, ainsi que la mise en place d’un réseau d’acteurs, d’expertise et de savoir.
Vingt ans après Rio, l’Agenda 21 local reste l’un des outils d’expérimentation privilégiés des collectivités locales pour répondre aux enjeux du développement durable, assurer la transition écologique et économique des territoires, et renouveler la gouvernance territoriale.

Agrocarburant

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Carburant produit à partir de matériaux organiques renouvelables et non-fossiles. Fabriqués à partir d’huiles végétales, de gaz obtenus à partir de biomasse végétale ou animale, d’alcool par fermentation alcoolique de sucres ou d’amidon, de déchets agricoles ou de bois, les agrocarburants ne rejettent en principe dans l’atmosphère que le gaz carbonique absorbé par la plante qui sert à leur fabrication.

Albédo

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Fraction du rayonnement solaire réfléchie par une surface ou par un objet, souvent exprimée sous forme de pourcentage. Les surfaces enneigées ont un albédo élevé, les sols, un albédo élevé à faible et les surfaces couvertes de végétation et les océans, un albédo faible. L’albédo de la Terre fluctue principalement en fonction des variations de la nébulosité, de l’enneigement, de l’englacement, de la surface foliaire et du couvert terrestre.

Antropogénico

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Resultante de la actividad de los seres humanos o producido por éstos.

Arquitectura bioclimática

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Es un nuevo tipo de arquitectura donde el equilibrio y la armonía son una constante con el medio ambiente. Busca lograr un gran nivel de confort térmico.
La Arquitectura Bioclimática es en definitiva, una arquitectura adaptada al medio ambiente, sensible al impacto que provoca en la naturaleza, y que intenta minimizar el consumo energético y con él, la contaminación ambiental.
La arquitectura bioclimática tiene en cuenta las condiciones del terreno, el recorrido del Sol, las corrientes de aire, etc., aplicando estos aspectos a la distribución de los espacios, la apertura y orientación de las ventanas, etc., con el fin de conseguir una eficiencia energética.

Objetivos
• Lograr la calidad del ambiente interior, es decir, unas condiciones adecuadas de temperatura, humedad, movimiento y calidad del aire.
• Tener en cuenta los efectos de los edificios sobre el entorno en función de:
• Las sustancias que desprendan:
• sólidas: residuos urbanos
• líquidas: aguas sucias
• gaseosas: gases de combustión vinculados al acondicionamiento de los edificios.
• El impacto que produzca el asentamiento: teniendo en cuenta aspectos como el exceso de población, las vías de acceso, aparcamientos, destrucción del tejido vegetal.
• Los consumos que afectan al desarrollo sostenible del lugar: el consumo de agua o de otras materias primas por encima de su capacidad de renovación.
• Contribuir a economizar en el consumo de combustibles, (entre un 50-70% de reducción sobre el consumo normal).
• Disminuir la emisión de gases contaminantes a la atmósfera (entre un 50-70%)
• Disminuir el gasto de agua e iluminación (entre un 30%-20% respectivamente)
Criterios de la Arquitectura Bioclimática
• La utilización de esta arquitectura se efectúa a través de:
• Un equipo pluridisciplinar.
• Ubicación
• Destacar la importancia del tratamiento exterior del edificio.
• Forma de la vivienda.
• Orientación del edificación.
• Implantación de sistemas para el ahorro energético.
• Sistemas de captación de energía solar pasiva.
• Implantación de energías renovables aprovechables en ese lugar determinado.
• Masa térmica.
• Sistemas de aislamiento
• Sistemas de ventilación
• Aprovechamiento climático del suelo.
• Espacios tapón.
• Sistemas evaporativos de refrigeración
• Diseño de sistemas para el precalentamiento del agua, mediante placas solares.
• Ahorro de agua.
• Aprovechamiento de agua de lluvia.
• Galerías de ventilación controlada.
• Sistemas vegetales hídricos reguladores de la temperatura y de la humedad.
• Disminución del consumo energético y con él, la contaminación ambiental.
• Sistemas de captación de luz natural (especialmente importante en las zonas del Norte de Europa).
• Climatización natural.
• Sistemas de control y gestión para optimizar el uso de la energía (domótica).
• Protección contra la radiación en verano.
• Utilización de materiales ecológicos.

Arquitectura solar activa

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Aprovecha la energía solar mediante sistemas mecánicos y/o eléctricos como son los colectores solares para calentar agua o para calefacción y paneles fotovoltaicos para la obtención de energía eléctrica. Sirve de complemento a la arquitectura bioclimática

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Diseño de un edificio para lograr el máximo aprovechamiento de la energía solar mediante medios no mecánicos.

Arquitectura solar pasiva

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Diseño de edificios para un uso eficiente de la energía solar. No utiliza sistemas mecánicos. Está íntimamente relacionada con la arquitectura bioclimática, si bien ésta última no solo juega con la energía solar, sino con otros elementos climáticos. Es por ello por lo que el término Bioclimático, es un poco más general, si bien arquitectura bioclimática y arquitectura solar van en la misma dirección.

Arquitectura sostenible

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

La Arquitectura Sostenible reflexiona sobre el impacto ambiental de todos los procesos implicados en una vivienda, desde los materiales de fabricación (obtención que no produzca desechos tóxicos y no consuma mucha energía), las técnicas de construcción que supongan un mínimo deterioro ambiental, la ubicación de la vivienda y su impacto con el entorno, el consumo de energía de la misma y su impacto, y el reciclado de los materiales cuando la casa ha cumplido su función y se derriba.
La Arquitectura sostenible se basa en 5 pilares básicos:
• El ecosistema sobre el que se asienta.
• Los sistemas energéticos que fomentan el ahorro
• Los materiales de construcción
• El reciclaje y la reutilización de los residuos
• La movilidad.
El término Arquitectura Sostenible es un término muy genérico, dentro del cual se puede encuadrar la Arquitectura Bioclimática como medio para reducir el impacto del consumo energético de la vivienda.

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Aquella que es respetuosa con el entorno. Debe considerar cinco factores: el ecosistema sobre el que se asienta, los sistemas energéticos que fomentan el ahorro, los materiales de construcción, el reciclaje y la reutilización del residuo, y la movilidad. Reflexiona, por tanto, sobre el impacto ambiental de todos los procesos implicados en una vivienda: los materiales de fabricación, las técnicas de construcción, la ubicación de la vivienda y su impacto en el entorno, el consumo de energía de la misma y su impacto y el reciclado.

Artificialisation

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Ensemble des transformations dues à l’homme, plus ou moins volontaires et raisonnées, qui modifient en tout ou partie la physionomie et les fonctionnements d’un milieu ou d’un paysage.

Artificialisation des littoraux méditerranéens
De telles mutations paysagères sont tout particulièrement à l’oeuvre dans les espaces littoraux méditerranéens. Au cours des années 1960 - 1970, des aménagements intensifs (programmes immobiliers, infrastructures) ont répondu aux fortes pressions urbaines et touristiques et aboutirent parfois à "bétonner" maintes portions des côtes espagnoles, françaises, italiennes, turques, tunisiennes, etc.. Dans les 20 dernières années, une relative prise de conscience aboutit à l’adoption de mesures de protection (action du Conservatoire du littoral en France par exemple) dont l’efficacité est inégale.

Atmosphère - Atmósfera

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Capa gaseosa que rodea la Tierra. La parte seca de la atmósfera está compuesta casi enteramente por nitrógeno (78,1%) y oxígeno (20,9%), junto con otros gases como el argón (0,93%),el dióxido de carbono (0,035%), el helio o el ozono. Además, la atmósfera contiene vapor de agua en cantidades variables (en torno al 1% de media) y aerosoles.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Enveloppe gazeuse de la Terre. L’atmosphère sèche est composée presque entièrement d’azote (rapport de mélange en volume de 78,1 %) et d’oxygène (rapport de mélange en volume de 20,9 %) ainsi que d’un certain nombre de gaz présents à l’état de trace, tels que l’argon (rapport de mélange en volume de 0,93 %), l’hélium et des gaz à effet de serre qui influent sur le rayonnement, notamment le dioxyde de carbone (rapport de mélange en volume de 0,035 %) et l’ozone. En outre, l’atmosphère contient de la vapeur d’eau, gaz à effet de serre, en proportion très variable, mais généralement dans un rapport de mélange en volume d’environ 1 %. L’atmosphère contient également des nuages et des aérosols.

Atténuation

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’atténuation (on parle aussi de mitigation) désigne dans ce contexte la réduction de la vulnérabilité, des mesures visant à atténuer les impacts des modifications environnementales (conditions climatiques par exemple) sur la société et l’environnement. Elle aboutit à mettre en œuvre des mesures destinées à réduire les dommages associés à ces évolutions.
Les politiques publiques associent souvent des mesures d’adaptation à celles relatives à l’atténuation.

Autosuficiencia energética

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Se denomina «autosuficiente» a lo que se basta a sí mismo. En términos de ecología, un sistema autosuficiente es el que obtiene los recursos necesarios y reintegra la totalidad de los residuos y las emisiones dentro de su propio ámbito. Ser autosuficiente significaría, pues, incluir la huella ecológica de la ciudad dentro de sus límites. En el caso de la energía, entendemos la autosuficiencia como la obtención de la totalidad de los recursos energéticos necesarios —y la gestión de los residuos y las emisiones producidos al obtenerlos— dentro del mismo hábitat. Seremos autosuficientes energéticamente cuando el cociente entre la energía generada localmente y la energía consumida sea 1 (o mayor que 1).

Á

Áreas verdes

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Término empleado para describir un terreno sin urbanizar o bien utilizado actualmente para la agricultura o como terreno salvaje.

b

Barrio

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Fracción del espacio físico y social de una ciudad, dotada de una fisonomía propia y caracterizada por unas trazas distintivas que le confieren una cierta unidad y una individualidad propia, que permiten identificarlo también como unidad mínima de apropiación social, perceptiva y simbólica.
Desde el punto de vista de las dotaciones, debería ser el escalón mínimo para la cobertura local de las necesidades más cotidianas.

Bâtiment basse consommation (BBC)

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Bâtiments atteignant un niveau de performance énergétique très élevé et préfigurant la moyenne des constructions futures avec des index de performance énergétique autour de 50 kWh/m².an, les catégorisant en classe A de l’étiquette énergie du diagnostic de performance énergétique (DPE). Un label sanctionne les constructions neuves atteignant ces performances.

Bilan carbone®

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Méthode de comptabilisation des émissions de gaz à effet de serre d’une entreprise, administration ou collectivité développée par l’ADEME. Elle permet à l’organisme de parvenir à une bonne évaluation de ses émissions directes ou indirectes induites par son activité, afin de pouvoir concevoir et mettre en place un plan de réduction de ses émissions. Le Bilan Carbone® est donc un outil permettant de tenir une « comptabilité carbone », selon les règles publiques de l’ADEME et compatibles avec les normes déjà en vigueur (ISO 14 064 notamment).

Bilan d’énergie de la Terre

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

La Terre est un système physique dont le bilan énergétique tient compte de toutes les énergies entrant (gains) et de toutes les énergies sortant (pertes). Pour obtenir ce bilan, on mesure la quantité d’énergie provenant du Soleil qui entre dans le système Terre, celle qui est perdue vers l’espace et celle qui demeure dans le système Terre y compris son atmosphère. Le rayonnement solaire est la source principale d’énergie du système Terre. L’énergie solaire incidente peut être diffusée et réfléchie par les nuages et les aérosols ou absorbée dans l’atmosphère. Le rayonnement transmis est alors soit absorbé soit réfléchi par la surface terrestre. L’albédo moyen de la Terre est d’environ 0,3, ce qui signifie que 30 % de l’énergie solaire incidente est réfléchie vers l’espace, tandis que 70 % de cette énergie est absorbée par la Terre. L’énergie de courtes longueurs d’onde provenant du rayonnement solaire est transformée en chaleur sensible, chaleur latente (changements d’état de l’eau), énergie potentielle et énergie cinétique avant d’être émise sous forme de rayonnement infrarouge. La température moyenne à la surface du globe étant proche de 15 °C (288 K), le flux principal d’énergie sortant se situe dans la bande infrarouge du spectre. Voir aussi Bilan énergétique; Flux de chaleur latente; Flux de chaleur sensible.

Bilan énergétique

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Différence entre l’énergie reçue et l’énergie émise. Un bilan positif donne lieu à un réchauffement, un bilan négatif, à un refroidissement. La moyenne de ce bilan calculée pour l’ensemble de la planète et sur des périodes prolongées doit être nulle. Comme le système climatique tire presque toute son énergie du soleil, un bilan égal à 0 signifie que, globalement, le rayonnement solaire absorbé – c’est-à-dire la différence entre le rayonnement solaire incident et le rayonnement solaire réfléchi au sommet de l’atmosphère – est égal au rayonnement sortant de grandes longueurs d’onde émis par le système climatique. Voir aussi Bilan d’énergie de la Terre

Bioclimática (Vivienda)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Vivienda que consigue mantener su temperatura ambiental y la iluminación natural aprovechando los recursos disponibles (sol, vegetación, lluvia, vientos, etc.) y reduciendo los impactos ambientales que genera

Bioconstrucción

AESP

SOURCE:Asociación Española de Bioconstrucción - Bloc de trabajo en Red - (Contiene criterios técnicos y metodológicos) (Spain)

Se entiende por Bioconstrucción como la forma de construir que favorece los procesos evolutivos de todo ser vivo así como la biodiversidad garantizando el equilibrio y la sustentabilidad de las generaciones futuras.

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Sistemas de edificación o establecimiento de viviendas, refugios o aperos, mediante mate¬riales de bajo impacto ambiental o ecológico, reciclados o altamente reciclables, o extraídos a través de procesos sencillos y de bajo coste como, por ejemplo, los materiales de origen vegetal. Estos sistemas se presentan como alternativas a las industrias contaminantes para crear edificios de bajo impacto ambiental, y generalmente de menor coste de fabricación, con la posibilidad de la autoconstrucción.

Biodiversidad - Biodiversité

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Variabilidad entre los organismos vivos procedentes de todas las fuentes, incluidos, entre otros, los ecosistemas terrestres, marinos y acuáticos en general y los complejos ecológicos de los cuales estos forman parte. Incluye la diversidad dentro de las especies, entre las especies y de los ecosistemas.

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

« Variabilité des organismes vivants de toute origine, y compris, entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie ; cela comprend la diversité au sein des espèces, et entre les espèces et ainsi que celle des écosystèmes » (Convention de la diversité biologique).

Biodiversité Méditerranée

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Zone refuge au cours des grandes glaciations quaternaires, la Méditerranée est une aire de grande biodiversité : avec 25 000 espèces de phanérogames, elle abrite 10% des plantes à fleurs du monde entier, sur moins de 2% de la surface de la Terre. Le nombre d’espèces endémiques (environ 13 000, soit la moitié de la flore totale méditerranéenne) est très élevé, ce qui en fait la deuxième région du monde pour la richesse en plantes à fleurs endémiques.
Néanmoins, la fragmentation voire la disparition de certains habitats, constitue aujourd’hui une sérieuse menace pour la survie de beaucoup d’espèces. Environ 5 000 espèces de plantes méditerranéennes (17% de la flore totale) sont classées comme menacées, rares ou vulnérables par l’Union mondiale pour la conservation de la nature (IUCN) et sont inscrites sur la liste rouge des plantes en voie de disparition.
Dans l’UE, 80% des plantes d’intérêt communautaire concernées par la Directive Habitats sont présentes dans les pays méditerranéens. Les écosystèmes formés par les milieux aquatiques, les zones humides, les espaces deltaïques, y sont particulièrement fragiles, surtout au sud : longtemps considérés comme des zones insalubres, leur valeur écologique est davantage reconnue aujourd’hui.

Les richesses faunistique et floristique de la Mer Méditerranée sont menacées par les effets de la pollution et par la pression sur les ressources. Ainsi, ne subsistent plus que quelques individus de phoques moines (Monachus monachus), dans la mer Égée et sur les côtes du Maghreb où ils étaient autrefois très fréquents. Les peuplements de dauphin et de marsouin communs ont connu de sensibles régressions. Les pollutions et, surtout, la pêche des espèces pélagiques au filet dérivant, entraînent une régression sensible des peuplements naturels qu’il faut désormais strictement protéger pour en assurer la survie.

Notons enfin que de nombreuses espèces tropicales de la Mer Rouge ont envahi la Méditerranée depuis l’ouverture du canal de Suez : l’atlas des espèces exotiques publié par la Commission internationale pour l’exploration scientifique en Méditerranée (CIESM) a répertorié 400 espèces tropicales inconnues au début du XXe siècle. Le réchauffement des eaux de la planète et l’augmentation du trafic maritime ont entraîné une accélération des introductions : de nouvelles espèces, venant aussi des eaux caribéennes via le détroit de Gibraltar, amènent des transformations de la biodiversité en Méditerranée : les espèces introduites peuvent dominer, voire supplanter, les résidentes.

Biological hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Process or phenomenon of organic origin or conveyed by biological vectors, including exposure to pathogenic micro-organisms, toxins and bioactive substances that may cause loss of life, injury, illness or other health impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or environmental damage.
Comment: Examples of biological hazards include outbreaks of epidemic diseases, plant or animal contagion, insect or other animal plagues and infestations.

Building code

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A set of ordinances or regulations and associated standards intended to control aspects of the design, construction, materials, alteration and occupancy of structures that are necessary to ensure human safety and welfare, including resistance to collapse and damage.
Comment: Building codes can include both technical and functional standards. They should incorporate the lessons of international experience and should be tailored to national and local circumstances.
A systematic regime of enforcement is a critical supporting requirement for effective implementation of building codes.

c

Calentamiento global

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Incremento de la temperatura del planeta producto de la intensa actividad humana en los últimos 100 años. La quema de combustibles, la deforestación, la ganadería, etc. aumentan la cantidad de gases de efecto invernadero. En consecuencia, la atmósfera retiene más calor y el planeta se recalienta. El incremento de la temperatura puede alterar la composición de los distintos niveles térmicos, aumentar la época de lluvia y elevar el nivel del mar.

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Fenómeno observado en la medición de la temperatura terrestre que muestra un aumento en la temperatura media de la atmósfera y de los océanos en las últimas décadas. También se denomina así la teoría que predice, a partir de proyecciones basadas en simulaciones por ordenador, un crecimiento futuro de dichas temperaturas.

ECO

SOURCE:Ecoestrategia.com - Foro Económico ambiental- Glosario de Términos ambientales (Spain)

Es la alteración (aumento) de la temperatura del planeta, producto de la intensa actividad humana en los últimos 100 años. El incremento de la temperatura puede modificar la composición de los pisos térmicos, alterar las estaciones de lluvia y aumentar el nivel del mar.

Cambio Climático

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

La Convención de las Naciones Unidas sobre el Cambio Climático lo define como “un cambio en el clima, atribuible directa o indirectamente a la actividad humana, que altera la composición de la atmósfera mundial y que se suma a la variabilidad climática natural observada durante períodos de tiempo comparables”.

ECO

SOURCE:Ecoestrategia.com - Foro Económico ambiental- Glosario de Términos ambientales (Spain)

Alteraciones de los ciclos climáticos naturales del planeta por efecto de la actividad humana, especialmente las emisiones masivas de CO2 a la atmósfera provocadas por las actividades industriales intensivas y la quema masiva de combustibles fósiles

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Conjunto de alteraciones producidas como consecuencia de la emisión a la atmósfera de gases de efecto invernadero, producidos tanto por procesos naturales internos, cambios ex¬ternos y también por los persistentes antropogénicos en la composición de la atmósfera o en el uso de las tierras.
La Convención Marco de las Naciones Unidas sobre el Cambio Climático (CMCC), en su Artícu¬lo 1, define ‘cambio climático’ como: “un cambio de clima atribuido directa o indirectamente a la actividad humana, que altera la composición de la atmósfera mundial y que se suma a la variabilidad natural del clima observada durante períodos de tiempo comparables”. La CMCC distingue entre ‘cambio climático’, atribuido a actividades humanas que alteran la composi¬ción atmosférica, y ‘variabilidad climática’, atribuida a causas naturales. Los gases que inciden en el cambio climático absorben y reemiten la radiación infrarroja hacia la superficie terrestre. Los gases de efecto invernadero contemplados por el Protocolo de Kyoto son los siguientes: dióxido de carbono (CO2), metano (CH4), óxido nitroso (N2O), perfluorocarburos (PFC´s), hi¬drofluorocarburos (HFC´s) y hexafluoruro de azufre (SF6).

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Cambio en el clima atribuido directa o indirectamente a la actividad humana que altera la composición de la atmósfera mundial y que se suma a la variabilidad natural del clima observada durante períodos de tiempo comparables’. Conviene distinguir entre ‘cambio climático’, como el atribuido a las actividades humanas que alteran la composición atmosférica; y ‘variabilidad climática’, atribuida a causas naturales.
(Artículo 1. Convención Marco de las Naciones Unidas sobre el Cambio Climático CMCC).

Capa de ozono

ECO

SOURCE:Ecoestrategia.com - Foro Económico ambiental- Glosario de Términos ambientales (Spain)

Capa compuesta por ozono que protege a la Tierra de los daños causados por las radiaciones ultravioleta procedentes del sol. Si desapareciera esta capa las radiaciones esterilizarían la superficie del globo y aniquilarían toda la vida terrestre.

Capacidad de adaptación / Capacity

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Todas los recursos de un país o región utilizados para desarrollar medidas de adaptación eficaces al cambio climático.

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The combination of all the strengths, attributes and resources available within a community, society or organization that can be used to achieve agreed goals.
Comment: Capacity may include infrastructure and physical means, institutions, societal coping abilities, as well as human knowledge, skills and collective attributes such as social relationships, leadership and management. Capacity also may be described as capability. Capacity assessment is a term for the process by which the capacity of a group is reviewed against desired goals, and the capacity gaps are identified for further action.

Capacidad de carga

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Se refiere a la cantidad (generalmente de población) que puede albergar, respondiendo a sus necesidades biológicas y sociales específicas, un determinado territorio.
(Véase huella ecológica).

Capacity Development

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The process by which people, organizations and society systematically stimulate and develop their capacities over time to achieve social and economic goals, including through improvement of knowledge, skills, systems, and institutions.
Comment: Capacity development is a concept that extends the term of capacity building to encompass all aspects of creating and sustaining capacity growth over time. It involves learning and various types of training, but also continuous efforts to develop institutions, political awareness, financial resources, technology systems, and the wider social and cultural enabling environment.

Carta de Aalborg

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Documento presentado en la Primera Conferencia Europea de Ciudades Sostenibles celebrada en Aalborg, Dinamarca, en 1994. La firma de la Carta de Aalborg compromete a las autoridades municipales a poner en marcha el proceso de implantación de la Agenda Local 21. Por otro lado, esta primera conferencia marca el comienzo de la Campaña de Pueblos y Ciudades Europeas Sostenibles.
(Véase http://www.aalborgplus10.dk/)

Casa autosuficiente

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Hace referencia a las técnicas para lograr una cierta independencia de la vivienda respecto a las redes de suministro centralizadas (electricidad, gas, agua e incluso alimentos), aprovechando los recursos del entorno inmediato (agua de pozos, de arroyos o de lluvia, energía del sol o del viento, paneles fotovoltaicos, huertos, etc.). La arquitectura bioclimática colabora con la autosuficiencia en lo que se refiere al ahorro de energía de climatización.

Celafacción centralizada en barrios o ciudades

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Sistema de calefacción por agua caliente (vapor en los sistemas antiguos) que se distribuye desde estaciones centrales hasta edificios e industrias de zonas densamente pobladas. Las fuentes centrales de calor pueden proceder de la recuperación del calor residual en los procesos industriales, plantas de incineración de residuos, centrales eléctricas de cogeneración o calderas independientes que queman combustibles fósiles o biomasa.

Centralidad

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Cualidad de determinados tejidos urbanos claramente identificados en el imaginario colectivo, en los que confluyen una localización relativamente central (o una buena accesibilidad peatonal y en transporte público) con una concentración rica y variada de actividades y funciones urbanas especializadas. En las denominadas “nuevas centralidades” se pretenden reproducir estas características en localizaciones periféricas.

Changement climatique

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Le changement climatique est caractérisé entre autres par l’augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est en particulier dû aux gaz à effet de serre rejetés par les activités humaines (transports, bâtiments…). Au cours du XXe siècle, la température moyenne de la Terre a augmenté de 0,74°C en moyenne, et de 0.9°C en France.

Ciclo global del carbono

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Conjunto de procesos, tales como la fotosíntesis, la respiración, la descomposición y el intercambio aire-mar, por el cual el carbono circula de manera continua en la biosfera a través de varios reservorios como la atmósfera, los organismos vivos, el suelo y los océanos.

Ciudad "Smart"

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Aunque no existe una definición exacta de lo que es una ciudad smart, puede describirse como una ciudad que aplica las TIC (tecnologías de la información y la comunicación) para dotarse de una infraestructura que la asista en el desarrollo sostenible, la eficiencia en el uso de los recursos, el incremento de la calidad de vida de los ciudadanos, la inclusión social y la participación ciudadana.
En contraste con una ciudad digital, una ciudad verdaderamente inteligente utiliza las infraestructuras, la innovación y la tecnología, pero también cuenta con una sociedad activa y participativa: personas, talento, espíritu emprendedor y colaboración son el motor y el alma de la ciudad. El concepto smart se aplica a todos los servicios de la ciudad: movilidad, suministros (energía, agua, alimentos), residuos, edificios, educación, salud, emergencias, atención a las personas, etc.

Ciudad difusa

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Modelo de ciudad basado en el crecimiento urbano discontinuo y disperso.

Ciudad sostenible

DGV

SOURCE:Dirección General de Vivienda/Ministerio de Fomento (España). Las Políticas para la Ciudad Sostenible y Solidaria: Las Buenas Practicas. Marta Garcia Nart. Documentación Social 119 (2000) (Spain)

entendemos la ciudad como un ecosistema formado tanto por el conjunto de elementos construidos como por el conjunto de personas que lo habita, las actividades y funciones que en ella se desarrollan, los sentimientos que generan, la historia y la cultura que refleja y las relaciones con su entorno, la ciudad sostenible será aquella que: Forma parte de un sistema urbano equilibrado no expoliador de los recursos naturales.
• Sea eficaz en la gestión y uso de los recursos naturales y energéticos, buscando la reducción de emisión de
• contaminantes y residuos.
• Tenga una estructura interna equilibrada, de calidad ambiental y estética.
• Sea justa y solidaria en la distribución de sus recursos: vivienda, equipamientos, etc.
• Esté integrada en el medio natural, de forma respetuosa y compatible con la conservación de sus recursos.
Sostenibilidad, calidad medio ambiental y calidad de vida pasan a ser conceptos inseparables, de forma que se usan en muchos casos como sinónimos. Lo que no cabe duda es de que hoy día no podemos hablar de calidad urbana sin tener en cuenta su sostenibilidad.

Clima

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Se suele considerar como el tiempo meteorológico promedio, aunque la definición rigurosa es “la descripción estadística del tiempo meteorológico mediante el promedio y la variabilidad de cantidades relevantes a lo largo de un periodo temporal que puede ser de meses o de miles de años” (se suele fijar 30 años) Estas cantidades relevantes son, en su mayoría, variables atmosféricas cerca de la superficie terrestre como la temperatura, las precipitaciones y el viento. En un sentido amplio, el clima es el estado del sistema climático descrito de forma estadística.

Climat

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Au sens étroit du terme, le climat désigne en général le temps moyen ou, plus précisément, se réfère à une description statistique fondée sur les moyennes et la variabilité de grandeurs pertinentes sur des périodes variant de quelques mois à des milliers, voire à des millions d’années (la période type, définie par l’Organisation météorologique mondiale, est de 30 ans). Ces grandeurs sont le plus souvent des variables de surface telles que la température, la hauteur de précipitation et le vent. Dans un sens plus large, le climat désigne l’état du système climatique, y compris sa description statistique.

Climat - Changement et Variabilité climatique (Global Change)

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

(a) The Inter-governmental Panel on Climate Change (IPCC) defines climate change as:
“a change in the state of the climate that can be identified (e.g., by using statistical tests) by changes in the mean and/or the variability of its properties, and that persists for an extended period, typically decades or longer. Climate change may be due to natural internal processes or external forcings, or to persistent anthropogenic changes in the composition of the atmosphere or in land use”.
(b) The United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) defines climate change as
“a change of climate which is attributed directly or indirectly to human activity that alters the composition of the global atmosphere and which is in addition to natural climate variability observed over comparable time periods”.
Comment: For disaster risk reduction purposes, either of these definitions may be suitable, depending on the particular context. The UNFCCC definition is the more restricted one as it excludes climate changes attributable to natural causes. The IPCC definition can be paraphrased for popular communications as “A change in the climate that persists for decades or longer, arising from either natural causes or human activity.”

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Un système climatique est un système extrêmement complexe dont les éléments (atmosphère, hydrosphère, cryosphère, surface terrestre, biosphère dont les sociétés humaines) sont en interactions. Il évolue dans le temps sous l’effet de ses propres éléments dynamiques internes et en raison de forçages (contraintes) externes tels que les éruptions volcaniques, variations solaires, et de forçages (contraintes) anthropiques tels que la modification de la composition de l’atmosphère et les changements d’affectation des terres. Les systèmes climatiques peuvent connaître des changements rapides, par exemple : une réorganisation fondamentale de la circulation océanique, une déglaciation rapide, ou une fonte massive du pergélisol.

Les changements climatiques désignent une variation statistiquement significative de l’état moyen du climat ou de sa variabilité persistant pendant de longues périodes (généralement, pendant des décennies ou plus). La Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) fait une distinction entre les "changements climatiques" qui peuvent être attribués aux activités humaines altérant la composition de l’atmosphère, et la "variabilité climatique" due à des causes naturelles. La variabilité naturelle du climat a des causes purement géophysiques et astronomiques, comme en témoigne l’histoire passée du climat : variations de l’activité solaire, évolution naturelle de la composition atmosphérique, éruptions volcaniques, impacts de météorites.
Les activités humaines, surtout depuis la Révolution industrielle et le développement économique de régions très peuplées de la planète, ne peuvent être sans conséquences sur le climat. Conférences, études et rapports, séminaires se succèdent pour évaluer la situation et envisager l’avenir. Leurs conclusions sont parfois contradictoires et dépendent des temporalités envisagées. Certains peuvent céder à un catastrophisme médiatiquement et/ou financièrement porteur. Si des évolutions non négligeables semblent d’ores et déjà perceptibles, il est difficile de faire des pronostics sur le moyen et le long terme et, aux échelles régionales, les tendances pourraient être très diversifiées. La liste éminemment changeante des régions menacées par la sécheresse ou par le déluge est significative de ce haut niveau d’incertitude des incidences spatiales concrètes du réchauffement climatique. On peut considérer que la généralisation, à l’échelle de la planète entière, de l’idée d’un réchauffement climatique, est excessive car, régionalement ou localement, les effets des changements climatiques peuvent être inverses. C’est ainsi que l’expression anglo-saxonne du global change est, en l’état actuel des connaissances scientifiques, difficile à apprécier.

Dans quelle mesure et de quelle manière l’humanité doit-elle prendre en compte les risques climatiques ? Peut-elle s’affliger des effets tout à s’accommodant des causes ? Une adoption raisonnée du principe de précaution conduit à engager dès à présent des mesures préventives concertées à l’échelle globale. Encore faut-il s’accorder sur la nature de ces mesures : les divergences planétaires autour de l’adoption et de la mise en œuvre du Protocole de Kyoto témoignent des difficultés rencontrées.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Changement climatique : Variation de l’état du climat, qu’on peut déceler (par exemple au moyen de tests statistiques) par des modifications de la moyenne et/ou de la variabilité de ses propriétés et qui persiste pendant une longue période, généralement pendant des décennies ou plus. Les changements climatiques peuvent être dus à des processus internes naturels ou à des forçages externes, notamment les modulations des cycles solaires, les éruptions volcaniques ou des changements anthropiques persistants dans la composition de l’atmosphère ou dans l’utilisation des terres. On notera que la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), dans son article premier, définit les changements climatiques comme des «changements de climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours de périodes comparables». La CCNUCC établit ainsi une distinction entre les changements climatiques attribuables aux activités humaines altérant la composition de l’atmosphère et la variabilité du climat imputable à des causes naturelles. Voir aussi Inertie du changement climatique; Détection et attribution.
Changement climatique brusque Changement de grande échelle touchant le système climatique et s’étalant sur quelques décennies voire moins. Il persiste (ou devrait persister) durant quelques décennies au moins, provoquant des bouleversements dans les systèmes humains et naturels.
Changement climatique rapide Voir Changement climatique brusque.

Climat Méditerranéen

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Seule mer à avoir donné son nom à un type climatique régional, la Méditerranée, dans son extension spatiale habituellement retenue, ne se confond toutefois pas complètement avec l’aire du climat méditerranéen : des nuances, désertiques sur sa partie méridionale, continentales dans sa partie nord (Adriatique), ou relatives aux effets du relief, en complexifient la réalité.
Le climat méditerranéen s’insère dans le groupe des climats tempérés. Ses principaux caractères résultent, en été, de l’extension vers les pôles d’anticyclones subtropicaux (d’où la chaleur et la sécheresse estivales), qui s’effacent en automne et en hiver pour laisser passer le flux des perturbations tempérées venues d’Atlantique dans sa partie ouest ou de coulées d’air polaire dans sa partie nord-orientale. En conséquence, les caractères moyens des différents climats méditerranéens sont les suivants : un rythme à quatre saisons bien contrastées ; un été chaud et sec ; un hiver marqué, bien que doux (la moyenne mensuelle n’est jamais inférieure à 0°C) ; un printemps et un automne parfois très pluvieux, avec un net avantage à l’automne.

Le climat de type méditerranéen a ainsi comme particularité la coïncidence entre le minimum pluviométrique et le maximum thermique annuels, ce dont rendent bien compte les diagrammes ombrothermiques. La sécheresse estivale correspond, selon la méthode proposée par H. Gaussen, aux périodes où les précipitations moyennes sont inférieures au double des températures moyennes (P<2T)

Les quantités annuelles de précipitations sont rarement négligeables : 765 mm/an à Alger, 862 mm à Nice, et même 2 000 mm sur les Cévennes. Elles peuvent, par leur concentration dans le temps (quelques semaines, voire, quelques jours), avoir des conséquences spectaculaires si ce n’est catastrophiques : c’est le cas, en France, des "épisodes cévenols" susceptibles de provoquer des crues dévastatrices.

Au-delà de ces paramètres pluvio-thermiques, le climat méditerranéen se distingue par la qualité de sa lumière, par ses durées d’ensoleillement généreuses : 2 400 heures minimum au nord-ouest du bassin, 3 500 heures sur le littoral libyen. Ce qui explique largement l’attractivité de la région.

Notons enfin que la variabilité interannuelle du climat est très forte ce qui n’est pas sans conséquences pour la gestion des ressources en eau et des risques.

Cloudhousing

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Concepto de vivienda que potencia la flexibilidad y la comunidad para aproximar el mercado inmobiliario a las necesidades de las personas. Propone edificios que combinan pisos, espacios y servicios comunes bajo un modelo de pago por uso, brindando a los usuarios la máxima facilidad para adaptar su vivienda a las necesidades cambiantes. Cada edificio se organiza como una empresa que gestiona los recursos necesarios para mantener el edificio y su infraestructura, y dispone de un gestor que asegura el buen uso de los equipamientos. La rentabilidad depende de la gestión de cada empresa, ya que se basa sobre todo en los ahorros conseguidos a través del uso inteligente de recursos y en la compra al por mayor de productos y servicios. Literalmente, significa «vivienda en una nube». Igual que en el cloud computing, en el que el usuario solo paga cuando utiliza software, en el cloudhousing se paga por el uso de la vivienda y los servicios compartidos.

CO2 - Dióxido de carbono

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Vease Dióxido de carbono

CO2 equivalente (CO2-eq)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Unidad que mide la contribución al efecto invernadero producida por la emisión de una determinada cantidad de un gas. Para expresar dicha contribución en peso (por ejemplo en toneladas), esta unidad se multiplica por el potencial de calentamiento global correspondiente.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Concentration de dioxyde de carbone qui entraînerait le même forçage radiatif qu’un mélange donné de dioxyde de carbone et d’autres facteurs de forçage. Parmi ces facteurs, on peut ne tenir compte que des gaz à effet de serre ou alors à la fois des gaz à effet de serre et des aérosols. Si la concentration en équivalent CO2 est une mesure permettant de comparer le forçage radiatif d’un mélange de différents gaz à effet de serre à un moment donné, elle n’implique cependant pas d’équivalence en ce qui concerne les réponses correspondantes du changement climatique ou le forçage futur. Il n’existe en général aucune corrélation entre des émissions en équivalent CO2 et les concentrations en équivalent CO2 qui en résultent.

Coeficiente de transmitancia térmica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Cantidad de calor que se transmite totalmente en una hora a través de un metro cuadrado de superficie, existiendo una diferencia de temperatura de 1° C entre el ambiente interno y externo.

Cogeneración

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Empleo del calor residual resultante de la generación eléctrica en plantas termoeléctricas para determinados usos. Por ejemplo, el calor resultante de la condensación de las turbinas de vapor o los gases de escape de las turbinas de gas se puede utilizar con fines industriales o para la calefacción de viviendas. Es sinónimo de generación combinada de calor y electricidad.

Compacidad urbana

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Indicador que relaciona el volumen edificado en un área con la superficie urbana ocupada, teniendo en cuenta la intensidad edificatoria. La compacidad absoluta (C) resulta del cociente entre el Volumen edificado (m³) y la Superficie urbana total (m²) que se esté analizando, y representa un indicador de la altura media de la edificación de un área determinada. La compacidad corregida (Cc) es un indicador propuesto para corregir el valor de la compacidad absoluta (C), entendiendo que ésta no es siempre positiva y que hay que valorar también el equilibrio entre el volumen construido y los espacios libres y de relación.
(Véase al respecto: http://www.sevilla.org/urbanismo/plan_indicadores/1-Morfología%20urbana.pdf).

Compensación de emisiones

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Mecanismo para reducir la cantidad equivalente de gases de efecto invernadero emitidos a la atmósfera por la actividad humana, mediante la participación en Proyectos de Desarrollo Limpio. Estos proyectos se seleccionan de modo que, al mismo tiempo, aporten beneficios socioeconómicos en las poblaciones donde se llevan a cabo y permitan la transferencia de tecnologías limpias desde los países desarrollados a los países del Sur, ayudando así al desarrollo sostenible de estos últimos

Complejidad

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Etimológicamente, la complejidad es un tejido (complexus: aquello que está tejido en conjunto) de constituyentes heterogéneos inseparablemente asociados: presenta la paradoja de lo uno y lo múltiple. La complejidad está ligada a una cierta mezcla de orden y desorden, mezcla íntima que en los sistemas urbanos puede analizarse, en parte, haciendo uso del concepto de diversidad.
La medida de la complejidad o diversidad urbana, como indicador, puede realizarse usando la ecuación de Shannon y Weaver (Teoría de la Información) que mide la información que contiene un mensaje. Los elementos
(las “palabras”) del mensaje lo constituyen las personas jurídicas ubicadas en un determinado territorio.

Construcción sostenible

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Se puede definir como aquella que, con especial respeto y compromiso con el medio ambiente, implica entre otras cosas el uso sostenible de la energía. La construcción sostenible se dirige hacia una reducción de los impactos ambientales causados por los procesos de construcción, uso y derribo de los edificios y por el ambiente urbanizado. El término de construcción sostenible abarca no sólo los edificios propiamente dichos, sino que también tiene en cuenta su entorno y la manera de comportarse para formar las ciudades.

Construcción verde

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Conceptos como Arquitectura Verde, Arquitectura Sostenible, Arquitectura Bioclimática, Arquitectura Ecológica, Arquitectura Pasiva, Arquitectura Solar ( Pasiva y Activa), Edificación de Elevada Eficiencia Energética, Urbanismo Sostenible, Ecociudades, Espacios Permaculturales, Bioconstrucción están relacionados en mayor o menor medida con el compromiso existente entre Arquitectura y Medio Ambiente. Aunque en algunos casos estos términos podrían entenderse como sinónimos, en realidad, definen un registro muy amplio que abarca desde la preocupación por la composición de los materiales, hasta proyectos alternativos de organización socioeconómica. En definitiva, todas estas acepciones se encuentran bajo un mismo denominador común: la reducción del impacto ambiental provocado por la construcción, ofreciendo importantes ventajas medioambientales y socioeconómicas.
Criterios Utilizados en la Construcción Verde
• Ubicación/Orientación de la vivienda/Forma de la vivienda/Captación solar pasiva/Aprovechamiento climático del suelo/Protección contra la radiación solar en verano/Masa Térmica/Aislamiento/Ventilación/Espacios tapón/Sistemas evaporativos de refrigeración.

Consumo sostenible / colaborativo

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Uso de bienes y servicios que responden a las necesidades básicas y contribuyen a una mejor calidad de vida de las personas, reduciendo al mínimo el uso de recursos naturales y materiales tóxicos y la generación de emisiones y desechos contaminantes a lo largo de todo su ciclo de vida, sin poner en peligro las necesidades de las generaciones futuras.

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Consumo colaborativo, economía solidaria o economía del acceso son algunos de los términos utilizados para describir un movimiento social en el que el acceso a los bienes y los servicios prevalece sobre la propiedad. El consumo colaborativo puede definirse como el modo tradicional de compartir, intercambiar, dejar, alquilar y regalar, redefinido a través de la tecnología moderna (Internet, comunidad global), que permite hacerlo mucho más eficiente.

Contaminación

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Alteración de las características físicas, químicas o biológicas del medio ambiente, derivada de activi¬dades humanas. La contaminación puede manifestarse local, regional o globalmente, como sucede con el efecto invernadero, la lluvia ácida, la desaparición de la capa de ozono, etc. También puede ser acústica, referida al ruido; atmosférica o lumínica. Los efectos potenciales incluyen impacto en el ecosistema, efectos adversos para la salud, interferencias con los observatorios astronómicos y malgasto de energía.

Contaminación atmosférica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Presencia en el aire de sustancias y formas de energía que alteran la calidad del mismo, de modo que se producen riesgos, daños o molestias graves para las personas o bienes de cualquier naturaleza.

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

La presencia en la atmósfera de materias, sustancias o formas de energía que impliquen molestia grave, riesgo o daño para la seguridad o la salud de las personas, el medio ambiente y demás bienes de cualquier naturaleza.
(Artículo 3. Ley 34/2007, de 15 de noviembre, de calidad del aire y protección de la atmósfera).

Contaminación lumínica

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Resplandor luminoso nocturno o brillo producido por la difusión y reflexión de la luz en los gases, aerosoles y partículas en suspensión en la atmósfera, que altera las condiciones naturales de las horas nocturnas y dificultan las observaciones astronómicas de los objetos celestes, debiendo distinguirse el brillo natural, atribuible a la radiación de fuentes u objetos celestes y a la luminiscencia de las capas altas de la atmósfera, del resplandor luminoso debido a las fuentes de luz instaladas en el alumbrado exterior.
(Artículo 3. Ley 34/2007, de 15 de noviembre, de calidad del aire y protección de la atmósfera).

Contingency planning

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A management process that analyses specific potential events or emerging situations that might threaten society or the environment and establishes arrangements in advance to enable timely, effective and appropriate responses to such events and situations.
Comment: Contingency planning results in organized and coordinated courses of action with clearlyidentified institutional roles and resources, information processes, and operational arrangements for specific actors at times of need. Based on scenarios of possible emergency conditions or disaster events, it allows key actors to envision, anticipate and solve problems that can arise during crises. Contingency planning is an
important part of overall preparedness. Contingency plans need to be regularly updated and exercised.

Convención Marco de las Maciones Unidas sobre el Cambio Climático (CMNUCC)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Su objetivo fundamental es la estabilización de las concentraciones de los gases de efecto invernadero en la atmósfera a un nivel que impida interferencias antropogénicas peligrosas en el sistema climático. Contiene compromisos para todas las Partes que lo firman. La Convención fue aprobada en mayo de 1992 en Nueva York y entró en vigor en marzo de 1994.

Convenio de Aarhus

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Es un instrumento de derecho internacional que se basa en tres pilares: acceso a la información, participación pública en la toma de decisiones y acceso a la justicia en materia de medio ambiente.

Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC)

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Convention adoptée le 9 mai 1992 à New York et signée par plus de 150 pays et par la Communauté européenne lors du Sommet Planète Terre, qui s’est tenu à Rio de Janeiro en 1992. Son objectif ultime est de «stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique». Elle contient des engagements pour toutes les Parties. Conformément à la Convention, les Parties citées dans l’annexe I (tous les pays de l’OCDE et les pays en transition vers une économie de marché) doivent s’employer à ramener en 2000 les émissions de gaz à effet de serre non réglementées par le Protocole de Montréal à leur niveau de 1990. La Convention est entrée en vigueur en mars 1994. En 1997, les Parties de la CCNUCC ont adopté le Protocole de Kyoto.
Convention-cadre sur les changements climatiques Voir Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

Coping capacity

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The ability of people, organizations and systems, using available skills and resources, to face and manage adverse conditions, emergencies or disasters.
Comment: The capacity to cope requires continuing awareness, resources and good management, both in normal times as well as during crises or adverse conditions. Coping capacities contribute to the reduction of disaster risks.

Corrective disaster risk management

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Management activities that address and seek to correct or reduce disaster risks which are already present.
Comment: This concept aims to distinguish between the risks that are already present, and which need to be managed and reduced now, and the prospective risks that may develop in future if risk reduction policies are not put in place. See also Prospective risk management.

Coût global

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Ensemble des coûts inhérents à un produit, tout au long de son cycle de vie (il peut s’agir de la consommation d’énergie qu’il engendre par exemple). Un produit respectueux de l’environnement peut être plus cher qu’un produit ordinaire à l’achat mais moins cher sur le long terme : son coût global est alors moindre.

Critical facilities

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The primary physical structures, technical facilities and systems which are socially, economically or operationally essential to the functioning of a society or community, both in routine circumstances and in the extreme circumstances of an emergency.
Comment: Critical facilities are elements of the infrastructure that support essential services in a society. They include such things as transport systems, air and sea ports, electricity, water and communications systems, hospitals and health clinics, and centres for fire, police and public administration services.

Cubierta Verde

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Eco-roof en inglés, consiste en un tejado de un edificio que está parcial o completamente cu¬bierto con vegetación y tierra. Este término también es usado para hacer referencia a los tejados que usan en cualquiera de sus formas tecnología ‘verde’, tales como los paneles solares.

Cycle de vie d’un produit

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Toutes les étapes de la vie d’un produit, depuis l’extraction des matériaux qui le constituent jusqu’à son traitement en fin de vie, en passant par sa fabrication, sa distribution, son utilisation. Lors de la détermination des impacts environnementaux liés à un produit, ce cycle de vie doit être considéré dans son ensemble car chaque étape peut être source d’impacts. La méthode d’évaluation correspondante est l’Analyse du Cycle de Vie (ACV).

Cycle hydrologique

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Cycle selon lequel l’eau des océans et l’eau présente à la surface des terres émergées s’évapore, se déplace dans l’atmosphère sous la forme de vapeur d’eau, se condense pour former des nuages, retombe dans les océans et sur les terres émergées sous forme de pluie ou de neige, est interceptée par les arbres et la végétation, s’écoule par ruissellement à la surface des terres émergées, s’infiltre dans les sols, réalimente les nappes souterraines, se déverse dans les cours d’eau et, pour finir, se jette dans les océans, d’où elle s’évapore à nouveau. Les différents systèmes participant au cycle hydrologique sont habituellement qualifiés de systèmes hydrologiques

d

Densité urbaine

IAU

SOURCE:Institut d'Aménagement et d'Urbanisme Île-de-France, (2005). Apprehender la densité 2, URL : http://www.iau-idf.fr/savoir-faire/nos-travaux/edition/apprehender-la-densite-2.html

La densité est le rapport entre un élément quantifiable — habitant, emploi, mètre carré de plancher, par exemple — et la surface d’un espace de référence. Elle peut être faible ou forte et plus ou moins bien perçue selon qu’un équilibre « subtil » s’établit entre ces diffé- rents indicateurs : la concentration de population, l’intensité de l’activité, la densité du bâti, la proportion d’espaces verts publics, etc. En se complétant, ces indicateurs permettent une appréhension plus globale du concept de densité.

Desarrollo sostenible

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Aquel modelo de desarrollo que satisface las necesidades de las generaciones presentes sin comprometer las posibilidades de las generaciones futuras de atender sus propias necesidades.

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

En su acepción original debe entenderse por tal aquel que permite satisfacer las necesidades de las actuales generaciones, sin poner en peligro las oportunidades de las generaciones futuras de satisfacer las suyas.
(Informe de la Comisión Mundial sobre el Medio Ambiente y el Desarrollo (Comisión Brundtland): Nuestro Futuro Común ONU (11/12/1987)). En la actualidad el término se utiliza frecuentemente de forma banal o espuria, y es preferible sustituirlo por “sostenibilidad”.
(Véase Naredo, J.M. “Sobre el origen, el uso y el contenido del término sostenible” en http://habitat.aq.upm.es/cs/p2/a004.html)

Desertification - Désertificación

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Degradación del suelo en zonas áridas, semiáridas y sub-húmedas secas como resultado de varios factores, incluidos las variaciones climáticas y las actividades humanas.

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

La Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification définit la dégradation des terres comme la diminution ou la disparition, dans les zones arides, semi-arides et subhumides, de la productivité biologique ou économique du fait de l’affectation des terres par un ou plusieurs phénomènes tels que : l’érosion des sols par le vent et/ou l’eau, la dégradation de leurs propriétés, et la disparition à long terme de la végétation naturelle. Man and Biosphere (MAB) et l’UNESCO ont défini des degrés d’aridité et en ont proposé une cartographie.
La désertification peut résulter d’un changement climatique, parfois minime, mais aux conséquences profondes dans ces milieux de marges, de lisières de l’écoumène. Les équilibres peuvent parfois être rompus par la densification des peuplements ou des modifications des techniques d’exploitation de l’espace.
Les évolutions climatiques du futur pourraient avoir de lourdes conséquences dans la répartition des zones désertiques ou sub-désertiques et sur les les sociétés vivant dans ces milieux. Notons cependant que ces dernières, au cours des temps historiques, ont souvent su faire preuve de capacités d’adaptation aux modifications de leur milieu de vie.

Développement durable

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Le concept de développement durable (Sustainable Development) a été introduit en 1987 par le rapport dit Brundtland (Our Common Future) qui en donne la définition suivante : « mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Il fut adopté lors du "Sommet de la Terre" (Conférence mondiale des Nations Unies sur l’environnement) de Rio en juin 1992, sur la base d’un double constat d’urgence à l’échelle mondiale : écologique (changement climatique, biodiversité, ressources fossiles, etc.) et sociale (inégalités, satisfaction des besoins de base, etc.). Il a pour objectif d’aboutir à un état d’équilibre entre trois piliers, le social, l’économique et l’environnemental.
C’est de cette conférence qu’est né l’Agenda 21, programme d’actions pour le XXIe siècle orienté vers le développement durable, qui fût adopté par les pays signataires de la Déclaration de Rio de Janeiro. Il formule des recommandations aux collectivités locales sur la façon d’atteindre les objectifs du développement durable.
Le terme de sustainable a été traduit par l’adjectif durable dans la mesure où le mot soutenable, en français, n’implique aucune dimension temporelle. Il s’agit de tenter de concilier les impératifs du développement, plus particulièrement pour les pays du Sud en retard, avec les contraintes environnementales au Nord comme au Sud.
Néanmoins, malgré des différences d’interprétation parfois fortes, tout le monde reconnaît maintenant que cette notion recouvre les trois aspects fondamentaux du développement et de la qualité de vie de nos sociétés: le développement économique, la protection de l’environnement et le développement social et humain.

Développement durable en Méditerranée

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Inquiets de voir se dégrader la mer qui constitue leur lien naturel et leur bien commun, les États méditerranéens, signèrent, en 1975, la Convention de Barcelone (distincte de celle de 1995, voir ci-dessus) et adoptèrent un "Plan d’Action pour la Méditerranée" (PAM) sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).
Le PAM comprend un volet d’étude et d’exploration afin d’aider à la décision, c’est le Plan Bleu : il se consacre à l’analyse et à la prospective des rapports entre environnement et développement dans l’ensemble de la région et il élabore des propositions à l’intention des pays riverains et de la Commission Européenne. C’est ainsi qu’ont pu être précisés des "indicateurs du développement durable" adaptés à cet ensemble régional.

Diagnostic de performance énergétique (DPE)

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Document qui comporte des informations sur la consommation d’énergie du bâtiment et sur les émissions de gaz à effet de serre ainsi que des recommandations et préconisations pour réduire cette consommation. Son but est d’informer les futurs propriétaires ou locataires.

Dióxido de carbono - Dioxide de carbone

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Se le considera el principal gas de efecto invernadero, ya que, pese a tener un menor potencial de calentamiento global, es el que se emite a la atmósfera en mayor cantidad. Su concentración media en la atmósfera ha pasado de 280 partes por millón (ppm) en la era pre-industrial a la actual de 380 ppm. Principalmente se produce por la quema de combustibles fósiles y otras sustancias de origen orgánico.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Gaz d’origine naturelle ou résultant de la combustion des combustibles fossiles (pétrole, gaz, charbon, etc.) et de la biomasse ainsi que des changements d’affectation des terres et d’autres procédés industriels (ex.: production de ciment). C’est le principal gaz à effet de serre anthropique qui influe sur le bilan radiatif de la Terre. C’est aussi le gaz de référence pour la mesure des autres gaz à effet de serre. Son potentiel de réchauffement global est donc égal à 1

Disaster / Desastre / Désastre

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A serious disruption of the functioning of a community or a society involving widespread human, material, economic or environmental losses and impacts, which exceeds the ability of the affected community or society to cope using its own resources.
Comment: Disasters are often described as a result of the combination of: the exposure to a hazard; the conditions of vulnerability that are present; and insufficient capacity or measures to reduce or cope with the potential negative consequences. Disaster impacts may include loss of life, injury, disease and other negative effects on human physical, mental and social well-being, together with damage to property, destruction of assets, loss of services, social and economic disruption and environmental degradation.

Disaster risk

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The potential disaster losses, in lives, health status, livelihoods, assets and services, which could occur to a particular community or a society over some specified future time period.
Comment: The definition of disaster risk reflects the concept of disasters as the outcome of continuously present conditions of risk. Disaster risk comprises different types of potential losses which are often difficult to quantify. Nevertheless, with knowledge of the prevailing hazards and the patterns of population and socio-economic development, disaster risks can be assessed and mapped, in broad terms at least.

Disaster risk management

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The systematic process of using administrative directives, organizations, and operational skills and capacities to implement strategies, policies and improved coping capacities in order to lessen the adverse impacts of hazards and the possibility of disaster.
Comment: This term is an extension of the more general term “risk management” to address the specific issue of disaster risks. Disaster risk management aims to avoid, lessen or transfer the adverse effects of azards through activities and measures for prevention, mitigation and preparedness.

Disaster risk reduction

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The concept and practice of reducing disaster risks through systematic efforts to analyse and manage the causal factors of disasters, including through reduced exposure to hazards, lessened vulnerability of people and property, wise management of land and the environment, and improved preparedness for adverse events.
Comment: A comprehensive approach to reduce disaster risks is set out in the United Nations-endorsed Hyogo Framework for Action, adopted in 2005, whose expected outcome is “The substantial reduction of disaster losses, in lives and the social, economic and environmental assets of communities and countries.” The International Strategy for Disaster Reduction (ISDR) system provides a vehicle for cooperation among
Governments, organisations and civil society actors to assist in the implementation of the Framework. Note that while the term “disaster reduction” is sometimes used, the term “disaster risk reduction” provides a better recognition of the ongoing nature of disaster risks and the ongoing potential to reduce these risks.

Disaster risk reduction plan

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A document prepared by an authority, sector, organization or enterprise that sets out goals and specific objectives for reducing disaster risks together with related actions to accomplish these objectives.
Comment: Disaster risk reduction plans should be guided by the Hyogo Framework and considered and coordinated within relevant development plans, resource allocations and programme activities. National level plans needs to be specific to each level of administrative responsibility and adapted to the different social and geographical circumstances that are present. The time frame and responsibilities for implementation and the sources of funding should be specified in the plan. Linkages to climate change adaptation plans should be made where possible.

Diseño Sostenible

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Integración de los aspectos ambientales en el diseño del producto con el fin de mejorar su comportamiento ambiental a lo largo de todo su ciclo de vida. También llamado diseño ecológico o ecodiseño, es el enfoque que examina un producto, un proceso o el ciclo de vida entero de una edificación y propone cambios a como el producto o el edificio se debe diseñar para minimizar su impacto ambiental durante toda su vida. Los impactos se reducen a través de la adopción de una serie de programas que incluyen las materias primas (Ej. diseño para la conservación de los recursos), manufacturación (Ej. diseño para una producción más limpia), uso (Ej. diseño para un rendimiento energético), final de vida (diseño para el reciclaje) y la distribución (Ej. diseño para una distribución eficaz).

Durabilité - Durabilidad

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Tiempo de vida potencial de un producto, obra o servicio. La durabilidad es, por ejemplo, deter¬minante en el impacto ambiental. A mayor durabilidad, potencialmente menor impacto.

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

La durabilité ne doit pas être confondue avec la conservation du patrimoine naturel ou culturel. Elle se comprend, en fait, en conjugaison avec le développement, ce dernier pouvant supposer l’adoption de mesures de conservation, mais aussi d’adaptation.
La durabilité est une notion à double sens, recouvrant celle de durée et celle de soutenabilité sur le plan économique, social et environnemental.
Les processus et les institutions durables répondent à certains critères environnementaux d’ordre quantitatif, comme limiter les émissions de polluants en fonction des capacités d’autoépuration des milieux, ou d’ordre qualitatif, comme respecter les bio-rythmes humains, la diversité des écosystèmes, la beauté des sites, la qualité de la vie. Ils n’épuisent pas les ressources nécessaires aux générations futures et ils renforcent continuellement les capacités des individus et des institutions. Les responsabilités et les avantages sont ainsi largement partagés. La durabilité sociale implique de satisfaire les besoins sociaux, économiques et culturels des communautés et de respecter l’acceptabilité sociale du système territorial. La durabilité économique suppose la capacité d’adaptation des territoires aux mutations des systèmes de production à différentes échelles.

e

Early warning system

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The set of capacities needed to generate and disseminate timely and meaningful warning information to enable individuals, communities and organizations threatened by a hazard to prepare and to act appropriately and in sufficient time to reduce the possibility of harm or loss.
Comment: This definition encompasses the range of factors necessary to achieve effective responses to warnings. A people-centred early warning system necessarily comprises four key elements: knowledge of the risks; monitoring, analysis and forecasting of the hazards; communication or dissemination of alerts and warnings; and local capabilities to respond to the warnings received. The expression “end-toend warning system” is also used to emphasize that warning systems need to span all steps from hazard detection through to community response.

Echelles du développement durable

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Les masses d’air, les masses océaniques, une bonne part des eaux continentales n’ayant pas de frontières, les grandes questions environnementales qui se posent à la planète aujourd’hui ne peuvent trouver de solutions durables et globales que dans le cadre de concertations et d’harmonisations à des échelles transnationales ou globales.
Mais la plupart des questions relatives au développement durable ont des dimensions à la fois locales, régionales et globales. Ainsi les systèmes climatiques peuvent être étudiés à des échelles allant du local (moins de 100 000 km²) au régional (100 000 à 10 millions de km²), au continental (10 à 100 millions de km²) jusqu’à la planète entière. Couramment, quatre niveaux d’échelles peuvent être considérés : méga, macro, méso et micro.

Echelles spatiales et temporelles

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Le climat peut varier selon des échelles spatiales et temporelles très diverses. Les échelles spatiales vont de l’échelle locale (moins de 100 000 km2) ou régionale (de 100 000 à 10 millions de km2 ) à l’échelle continentale (de 10 à 100 millions de km2). Quant aux échelles temporelles, elles varient de la saison aux temps géologiques (jusqu’à des centaines de millions d’années).

Eclairement énergétique solaire total (TSI)

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Quantité totale de rayonnement solaire (en W m−2) reçue en dehors de l’atmosphère terrestre sur une surface perpendiculaire à ce rayonnement et à la distance moyenne de la Terre au Soleil. Des mesures fiables du rayonnement solaire ne peuvent être effectuées que depuis l’espace, et les premiers relevés précis ne remontent qu’à 1978. La valeur généralement acceptée est de 1 368 W m-2, avec une précision d’environ 0,2 %. Elle a été estimée récemment à 1360,8 ± 0,5 W m-2 pour le minimum solaire de 2008. Des variations de l’ordre de quelques dixièmes de point de pourcentage sont courantes et sont généralement liées à la présence de taches solaires sur le disque solaire. La variation du TSI correspondant au cycle solaire est de l’ordre de 0,1 % (AMS, 2000). Les variations observées dans la bande des ultraviolets au cours d’un cycle solaire sont plus grandes (en pourcentage) que celles du TIS. Voir aussi Insolation.

Eco (préfixe - préfijo)

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Écocitoyen, écocivisme, éco-efficience, écodéveloppement, éco-efficacité, éco-industrie, écoresponsabilité, écotourisme, etc. : le préfixe éco-, un des "préfixes-valise" du développement durable, se conjugue de toutes les façons. Au-delà de l’effet d’affichage, il reste à voir, dans chaque situation, ce qu’il y a de concret et d’opératoire.

Eco construction; Eco construcción

MEDF

SOURCE:Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie - Site Web. 2014. Bâtiment et Ville Durable. (France)

« Eco-construire » ou « éco-rénover » équivaut aujourd’hui à atteindre une haute performance sur plusieurs cibles touchant à l’environnement, au confort et la santé des occupants d’un bâtiment, en particulier la préservation des ressources énergétiques (matières premières, eau), la lutte contre le changement climatique, la réduction des déchets et de la pollution, la qualité de l’air intérieur, le confort des occupants (acoustique, visuel), la qualité environnementale et sanitaire des produits de construction.
Les acteurs de la construction disposent aujourd’hui de référentiels, normes ou certifications pour les aider dans leurs projets et garantir l’atteinte de ces performances.

Eco-conception

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Prise en compte des aspects environnementaux dans la conception d’un produit (bien ou service). L’objectif de cette démarche est d’améliorer la qualité écologique du produit, c’est-à-dire réduire ses impacts négatifs sur l’environnement tout au long de son cycle de vie, tout en conservant sa qualité d’usage.

Eco-Efficacité

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Rapport entre la qualité d’un produit ou d’un service et son impact sur l’environnement.

Eco-produit

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Produit qui est source de moins d’impacts sur l’environnement, tout au long de son cycle de vie, que d’autres produits similaires (à service rendu identique). La notion d’écoproduit est une notion relative : un tel produit n’est pas « bon pour l’environnement » en soi, mais meilleur d’un point de vue environnemental que d’autres produits similaires.

Eco-quartier, Eco-Barrio

WIKI

SOURCE:Wikipedia

Un écoquartier est un quartier urbain à caractéristiques écologiques modernes. Cette sorte d’urbanisme est constituée sur un objectif de maîtrise sur la zone définie dans la ville des ressources nécessaires à la population et aux activités de production économiques ainsi que la maîtrise des déchets qu’ils produisent. Il est prévu une fourniture locale de l’énergie. Il est prévu d’absorber les déchets sur leur aire de production, compte tenu des techniques et des circuits courts de recyclage et de distribution connus respectant les réglementations en vigueur. C’est une unité d’aménagement qui produit accessoirement une unité culturelle. Cette caractéristique de maîtrise dépend généralement d’une implication des habitants.
Selon les promoteurs de ce terme, un écoquartier concilierait autant que possible les différents enjeux environnementaux dans le but de réduire l’impact du bâti sur la nature :
• réduction des consommations énergétiques : les bâtiments, notamment, répondent à des exigences très strictes avec des consommations au mètre carré aussi faibles que possible. Les écoquartiers remarquables recourent tous aux énergies renouvelables (solaire, le plus souvent).
• .meilleure gestion des déplacements avec limitation de la voiture et incitation à l’utilisation de transports doux (transports en commun, vélo, marche à pied) : les écoquartiers favorisent l’usage du vélo grâce à des pistes cyclables, la présence de parking à vélo sécurisé, des voies piétonnes permettent de circuler en toute sécurité, des arrêts de bus parcourent le quartier, etc. Cette limitation de l’automobile peut même aller jusqu’à son interdiction totale, comme dans le cas des quartiers Carfree.
• réduction des consommations d’eau : les eaux pluviales sont récupérées et utilisées pour arroser les espaces verts, nettoyer la voie publique ou alimenter l’eau des toilettes.
• limitation de la production de déchets : la collecte sélective des déchets est de rigueur, mais les déchets verts peuvent également être facilement compostés grâce à des emplacements prévus à cet effet - le compost pouvant ensuite être utilisé pour les jardins et espaces verts.
• favoriser la biodiversité : suivant les écoquartiers, des mesures peuvent être prises ou encouragées pour permettre à une flore et une faune locale de s’épanouir.
• les matériaux de construction utilisés et les chantiers peuvent faire l’objet d’une attention particulière (écomatériaux, meilleure gestion des déchets de chantier, réutilisation d’éléments dans le cadre d’une réhabilitation…). Un projet (2012) prévoit d’expérimenter l’utilisation de modules préfabriqués en usine, assemblés sur site en quelques heures (une nouvelle maison (ossature bois) devrait être assemblée chaque jour sur le quartier), à Vert-Saint-Denis.
Dans un écoquartier, les habitants seraient impliqués dès la conception du quartier ou au démarrage du projet de réhabilitation. Fidèle aux principes de développement durable qui place la concertation au cœur du processus, la conception de tels quartiers attache une importance particulière à la mixité socio-économique, culturelle et générationnelle. Le quartier durable promet un accès plus facile à des activités sportives et culturelles. Du point de vue économique, les services et les commerces se voudront multi-fonctionnels.
Enfin, un accompagnement est souvent mis en place tout au long de la vie de l’écoquartier pour éduquer les nouveaux arrivants et leur permettre une intégration en adéquation avec les objectifs de développement durable.

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Barrio pensado íntegramente bajo la perspectiva de la sostenibilidad, desde el planeamiento inicial hasta la construcción y el funcionamiento de edificios. El objetivo es minimizar la huella ecológica y propiciar la calidad de vida y la cohesión social. La idea se materializó inicialmente en ciertas ciudades del norte y el centro de Europa (Estocolmo, Hannover, Friburgo…), que se han convertido en un ejemplo para el desarrollo de áreas residenciales.

CTA

SOURCE:Consorcio Termoarcilla - Boletin Electronico Nº 29 abril 2007 (Spain)

Como todo concepto innovador, es difícil definirlo con exactitud. En líneas generales podemos decir que un ecobarrio es un desarrollo urbano en el que se pretende mejorar la calidad de vida y el respecto al medioambiente en comparación con el urbanismo tradicional; un proyecto armónico que conjuga cinco líneas maestras: fortalecer las relaciones ciudadanas, gestión de los residuos, ahorro y eficiencia en los recursos básicos (agua, energía, etc.) y educación.
Otra definición es la de un espacio bien definido dentro de la ciudad, que interacciona con el resto del tejido urbano mediante una estructura urbana densa y con una especial atención a la integración de la agricultura, la naturaleza y la gestión integral de la movilidad sostenible.
La traducción al mundo real de este concepto puede ser muy diferente y, por supuesto, estas variaciones pueden responder a las condiciones demográficas, orográficas o climatológicas, por ejemplo, de la ciudad en la que se desarrolla el ecobarrio.
Los ecobarrios, una tendencia global ante el reto sostenible
El desarrollo de ecobarrios es una tendencia global de los países occidentales pero también de países emergentes. La preocupación por el cambio climático y la necesidad de gestionar los recursos naturales del planeta de forma responsable ha llevado a los responsables urbanísticos de las administraciones locales a buscar nuevas fórmulas de crecimiento para responder a las necesidades de sus ciudadanos.

MEDF

SOURCE:Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie - Site Web. 2014. Bâtiment et Ville Durable. (France)

Un EcoQuartier est un projet d’aménagement urbain qui respecte les principes du développement durable tout en s’adaptant aux caractéristiques de son territoire. Le Ministère s’est doté d’un référentiel en matière d’aménagement durable. Des textes de référence posent également les principes de la Ville durable.
Un EcoQuartier doit respecter tous les principes du développement durable par :
• la nécessité de faire du projet autrement, en impliquant tous les acteurs de la ville, du citoyen à l’élu, mais aussi par l’offre d’outils de concertation et de suivi pour garantir la qualité du projet dans la durée et à l’usage ;
• la contribution à l’amélioration du quotidien, par la mise en vie d’un cadre de vie sain et sûr pour tous les habitants et usagers de l’espace public ou privé, et qui favorise le vivre ensemble ;
• la participation au dynamisme économique et territorial ;
• la promotion d’une gestion responsable des ressources et de l’adaptation au changement climatique
Un label, pour quoi faire ?
• Levier vers la ville durable, le label EcoQuartier permet d’encourager, d’accompagner et de valoriser des projets d’aménagement et d’urbanisme réellement durables, quels que soient leur échelle ou leur contexte
Il distingue l’exemplarité des démarches, clarifie les conditions de réussite des EcoQuartiers et permet de passer à une diffusion à grande échelle.
• Le label n’est pas une norme et ne propose pas de modèle unique. Au contraire, s’il garantit la qualité des projets sur un socle d’exigences fondamentales. Il a été conçu comme un outil permettant la contextualisation et l’adaptation de la démarche à tout type de territoire, quelle que soit sa taille, son contexte, son histoire, sa culture et à tous les stades d’avancement du projet.
• Il est pour tous : il démontre que toutes les configurations de projets, des opérations en milieu rural, dans les petites villes aux grandes agglomérations, peuvent contribuer au renouveau de l’aménagement.
• Il est accessible : il permet à tous les projets d’apporter leurs propres réponses aux objectifs nationaux, il est fondé sur la mise en pratique d’une approche intégrée de l’aménagement pour garantir la pertinence de la réponse à la fois globale, transversale et adaptée à son contexte.
• Il incite au progrès : dans sa démarche en trois étapes, il réinterroge à chaque stade du projet, le niveau de qualité de la réponse, pour rappeler l’importance de faire émerger l’exemplarité et l’innovation sur notre territoire.
• Il est fondé sur des résultats : la commission nationale, collège représentatif des principaux acteurs français de l’aménagement (public, parapublic, privé), qui décerne diplômes et labels EcoQuartier, permet d’attester de la qualité des projets suffisamment avancés. Ainsi, le diplôme « engagé dans la labellisation », correspondant à l’étape 2 de la démarche est attribué aux opérations en chantier, le label (étape 3), venant récompenser une opération livrée, vivante.
EcoQuartiers : mieux vivre en réduisant son empreinte écologique
Tous ces projets EcoQuartiers font la promotion de nouveaux modes de vie, d’un développement territorial équitable et raisonné et d’une utilisation économe des ressources et de l’espace agricole ou naturel, dans les villes, grandes, petites ou moyennes, urbaines et rurales.
Ces quartiers exemplaires témoignent qu’un urbanisme au service de projets intégrés, durables, conduit à un mieux-être social, à des modes de vie plus doux ou encore à une nature protégée et reconsidérée.
Les résultats vont souvent beaucoup plus loin et on voit émerger des mutations plus structurelles du modèle économique et de développement : circuits courts, économie de proximité, activités « hors sol », mixité fonctionnelle, emploi dans les services à la personne...
S’ils changent le mode de vie, ces EcoQuartiers répondent aussi à des enjeux plus larges :
• la transition écologique en milieu urbain : les ÉcoQuartiers s’articulent autour des notions de la densité, de la nature en ville, de l’anticipation et de l’adaptation au changement climatique, et visent à les mettre en œuvre harmonieusement ;
• l’égalité des territoires : un des objectifs des ÉcoQuartiers est de réduire les difficultés de chacun pour vivre, se loger, travailler, se divertir, rester en bonne santé, en promouvant des projets de mixité sociale et fonctionnelle, tout en valorisant les atouts des territoires et les savoir-faire locaux ;
• l’objectif des « 500 000 logements » annuels : les ÉcoQuartiers sont un levier pour le territoire car ils permettent d’utiliser pleinement son potentiel et d’enclencher une dynamique économique.
Les ÉcoQuartiers sont également des réponses locales aux enjeux nationaux et internationaux pour 2020 :
• Le « 3 x 20 » européen engage la France à atteindre 23 % de production d’énergie à partir de ressources renouvelables (contre 12 % en 2012), une réduction de 20 % de nos émissions de gaz à effet de serre (GES) et 20 % d’économies d’énergie en 2020.
• Le Protocole de Nagoya engage la France dans un Plan Biodiversité 2010-2020 avec un point d’étape en 2015 : promouvoir la biodiversité implique de travailler sur une ville plus dense, plus verte, plus désirable au profit des espaces naturels.

Ecocity, Ecocité, Ecociudad

MEDF

SOURCE:Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie - Site Web. 2014. Bâtiment et Ville Durable. (France)

L’enjeu des EcoCités est de soutenir la croissance et l’attractivité des villes, de les rendre plus respectueuses de leur milieu, moins consommatrices d’énergie ou d’espace périurbain, tout en répondant aux attentes de leurs habitants actuels et futurs. Plus globalement, la démarche s’inscrit dans la lutte contre l’artificialisation des sols, la pollution de l’air et le réchauffement climatique.
Fixer des objectifs et développer des modes de faire intégrateurs n’exclut pas d’identifier des champs d’interventions spécifiques et partagés par l’ensemble des EcoCités, sans exclure des dimensions plus transversales comme celle des smart cities, les villes intelligentes.
Cinq dimensions sont ainsi partagées par les EcoCités :
Reconquérir la ville, par :
• l’affirmation d’une identité métropolitaine ;
• l’intégration du fonctionnement environnemental ;
• la valorisation des ressources foncières.
Repenser les aménités urbaines, grâce :
• à l’amélioration de l’environnement urbain et son fonctionnement écologique ;
• au renouvellement des paysages de la ville ;
• à la redécouverte de la ville des proximités par des nouveaux usages.
Soutenir les écosystèmes énergétiques et industriels, en favorisant :
• l’économie circulaire, pour une gestion urbaine plus autonome et mieux intégrée ;
• l’utilisation des ressources renouvelables locales ;
• la sobriété des constructions.
Développer des systèmes de mobilité plus urbains, en agissant sur :
• l’optimisation des chaînes de mobilité ;
• la diversification des choix modaux ;
• l’évolution du rôle de l’automobile.
Favoriser l’intelligence urbaine, par :
• le recours aux outils numériques
• la création de nouveaux services innovants ;
• l’expérimentation par les usages.

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

El concepto, relativamente nuevo, de eco ciudad implica el fomento del reciclaje, el empleo de fuentes de energía renovables, la búsqueda de fuentes energéticas renovables, el fomento del transporte público, etc.

REVDIG

SOURCE:REVISTA DIGITAL SOBRE CULTURA ECOLOGICA - Arquitectura-Medio Ambiente – Sostenibilidad Articulo Diana Junio 2011 : Las Ecociudades , una Alternativa Sana a la Polución de las Grandes Urbes. (Spain)

Una ecociudad (o ecópolis) es una ciudad que es diseñada siguiendo principios ecológicos. La idea de las ecociudades surge como una nueva aproximación del desarrollo sustentable.
Una ciudad ecológica puede proveerse a sí misma con mínima dependencia de las zonas rurales que la rodean, y crea la menor huella ecológica posible para sus residentes. Esto resulta en una ciudad que es amigable con el medio ambiente, en términos de contaminación, uso de la tierra y reducción de las causas que contribuyen al calentamiento global.
Las ecociudades pueden ser caracterizadas por varios aspectos, por ejemplo:
Agricultura de pequeña escala, sostenida por la comunidad y en los suburbios, para reducir las distancias de transporte de los alimentos producidos.
Fuentes de energía renovable, tales como aerogeneradores, células solares, o biogás creado de aguas negras. Las ciudades proveen economías de escala que hacen viables estas fuentes de energía.
Variados métodos para reducir la necesidad de usar aire acondicionado (que demanda mucha energía), como por ejemplo construir edificios de poca altura para permitir una mejor circulación de aire o aumentar las áreas verdes para que equivalgan al menos a un 20% del total de la superficie urbana.
Sistema de transporte público mejorado y fomento de la peatonalización para reducir las emisiones de combustibles de los automóviles. Esto requiere un cambio radical en la planificación urbana.

Ecoeficiencia

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Incremento de la productividad que va acompañado de la reducción en el consumo de materias primas, agua, recursos energéticos y otros insumos, así como una disminución en la generación de residuos y la emisión de desechos contaminantes.

Ecolabel

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Reconnaissance officielle de la qualité écologique d’un produit. Les écolabels relèvent de la certification (demandée volontairement par le fabricant) et ont été mis en place sous l’investigation des pouvoirs publics. Leurs critères garantissent l’aptitude à l’usage des produits et une réduction de leurs impacts environnementaux tout au long de leur cycle de vie. L’écolabel peut être national (ex : « NF Environnement » en France, « Ange bleu » en Allemagne) ou supranational (Ecolabel Européen).

Ecosystem services

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The benefits that people and communities obtain from ecosystems.
Comment: This definition is drawn from the Millennium Ecosystem Assessment. The benefits that ecosystems can provide include “regulating services” such as regulation of floods, drought, land degradation and
disease, along with “provisioning services” such as food and water, “supporting services” such as soil formation and nutrient cycling, and “cultural services” such as recreational, spiritual, religious and other non-material
benefits. Integrated management of land, water and living resources that promotes conservation and sustainable use provide the basis for maintaining ecosystem services, including those that contribute to reduced disaster risks.

Ecosystème, Ecosistema

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Sistema de organismos vivos que interactúan entre sí y con su entorno físico. La magnitud de un ecosistema puede oscilar desde escalas espaciales muy pequeñas hasta el de toda la Tierra (ecosistema global).

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Complexe constitué d’organismes vivants, de leur milieu non vivant et de l’ensemble de leurs interactions, considéré en tant qu’unité fonctionnelle. Les composantes d’un écosystème donné et ses limites spatiales sont fonction de l’objet pour lequel l’écosystème est défini: dans certains cas, elles sont relativement précises et dans d’autres, relativement floues. Les limites d’un écosystème peuvent évoluer avec le temps. Des écosystèmes se nichent au sein d’autres écosystèmes; ils peuvent être très petits ou représenter l’ensemble de la biosphère. Au cours de la période actuelle, la plupart des écosystèmes comprennent l’être humain en tant qu’organisme clé ou subissent l’influence des activités humaines dans leur milieu.

Edificación ecológica

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

Cuando hablamos de Edificación Ecológica no solo nos referimos al ahorro en el consumo energético, sino que además, incluye todos los procesos de fabricación como la elaboración de los materiales, el transporte de éstos, la puesta en marcha de la obra, la utilización del edificio o derribo y la posibilidad de recuperación de los materiales.

Edificio inteligente

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Adaptan su función a petición del usuario o según las condiciones meteorológicas con el fin de minimizar el consumo de recursos, tales como el gasto energético. El edificio está equipado con unos sensores estándar (ej. presencia, temperatura, iluminación, humedad) y unas características (ej. iluminación, acristalamiento, interruptores, ventanas con sistemas de protección solar Brise Soleil…) para que sea capaz de adaptarse a las condiciones variables sin intervención humana.

Efecto invernadero

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Es el aumento de temperatura que experimenta la tierra debido a los gases de la atmósfera (ej. vapor de agua, CO2, óxido nitroso y metano). El efecto natural invernadero ha aumentado desde la Revolución Industrial debido a las emisiones GHG provocadas artificialmente por la mano del hombre. Cuando los rayos solares que penetran en la atmósfera alcanzan la superficie de la tierra son parcialmente rechazados por ésta. Pero ciertos gases presentes en la atmósfera absorben estos rayos que ascienden y los vuelven a reflejar hacia la tierra en forma de calor, lo que permite mantener de manera natural la temperatura de la tierra a unos 15º C. Pero la acción de los seres humanos contribuye a incrementar la acción de estos gases en la atmósfera, lo que provoca que, al reflejar los rayos, éstos eleven la tempera¬tura de la tierra, con las consecuencias del cambio climático y todos sus efectos negativos. Se ha venido observando desde hace más de 100 años el aumento del efecto invernadero junto al de las temperatu¬ras medias globales (calentamiento global) y otras variaciones en el clima (cambio climático).

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Fenómeno que consiste en la retención de parte de la radiación solar que incide sobre la Tierra por parte de la atmósfera. Constituye un fenómeno natural que permite que se den las condiciones necesarias para el desarrollo de la vida sobre la superficie del planeta.

Efecto Isla Termal

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Es un área que está significantemente a más temperatura que sus alrededores (ej. donde el aire de la ciudad y la temperatura de las superficies son más altas que en las áreas rurales cercanas). Durante la urbanización, el efecto de isla termal se puede reducir de varias maneras incluidas: mediante la insta¬lación de cubiertas verdes, mediante el plantado de árboles y zona verde o cambiando los materiales de pavimentación por otros más fríos (Ej. colores más suaves o materiales porosos).

Effet de serre

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Effet radiatif de tous les constituants de l’atmosphère qui absorbent le rayonnement infrarouge. Les gaz à effet de serre, les nuages et, dans une moindre mesure, les aérosols absorbent le rayonnement terrestre émis à la surface de la Terre et dans l’atmosphère. Ces constituants émettent un rayonnement infrarouge dans toutes les directions, mais, toutes choses étant égales par ailleurs, la quantité nette de rayonnement émis vers l’espace est alors inférieure que ce qu’elle aurait pu être en l’absence de ces constituants, compte tenu de la baisse de la température avec l’altitude dans la troposphère et de l’affaiblissement de l’émission qui en découle. L’augmentation de la concentration de gaz à effet de serre accroît cet effet; on fait parfois référence à cette différence en utilisant l’expression effet de serre additionnel. L’augmentation de la concentration des gaz à effet de serre découlant d’émissions anthropiques se traduit par un forçage radiatif instantané. La surface terrestre et la troposphère se réchauffent en réponse à ce forçage, rétablissant graduellement l’équilibre radiatif au sommet de l’atmosphère.

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Phénomène physique naturel par lequel certains gaz de l’atmosphère terrestre « piègent » à la surface de notre planète une partie du rayonnement de chaleur émis par la Terre sous forme d’infrarouges, permettant ainsi à la température de la surface terrestre de se maintenir à 15°C en moyenne (au lieu de -18°C). Le problème actuel est la surproduction très importante par l’homme de gaz à effet de serre (GES) qui entraine un réchauffement moyen durable et préjudiciable à l’équilibre de des écosystèmes de la planète.

MEDF

SOURCE:Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie - Site Web. 2014. Bâtiment et Ville Durable. (France)

L’effet de serre est un phénomène naturel important pour la survie de la planète. Il permet d’avoir une température moyenne sur Terre de 15° C contre -18°C si cet effet n’existait pas. Les gaz à effet de serre sont naturellement peu abondants dans l’atmosphère mais du fait de l’activité humaine, la concentration de ces gaz s’est sensiblement modifiée (la concentration de CO2 a augmenté de 30% depuis une centaine d’années).
Les changements climatiques désignent une variation statistiquement significative de l’état moyen du climat ou de sa variabilité persistant pendant de longues périodes. Les changements climatiques peuvent être attribués aux activités humaines altérant la composition de l’atmosphère, et à des causes naturelles.

Effet radiatif

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Incidence sur le flux de rayonnement ou sur le taux de réchauffement (le plus communément, sur le flux descendant au sommet de l’atmosphère) de l’interaction d’un constituant en particulier avec les champs de rayonnement soit infrarouge soit solaire, par absorption, diffusion et émission, par comparaison aux conditions dans une atmosphère, par ailleurs identique, en l’absence de ce constituant. Cela permet de quantifier l’influence du constituant étudié sur le système climatique. L’interaction aérosols-rayonnement, l’effet radiatif des nuages ou l’effet de serre en sont des exemples. Dans le présent rapport, on emploie l’expression forçage radiatif instantané pour indiquer la partie de tout effet radiatif au sommet de l’atmosphère étant dû à des influences externes, anthropiques ou autres (ex.: éruptions volcaniques ou variations du Soleil).

Eficiencia energética

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Tecnologías y medidas que reducen la cantidad de electricidad o/y combustible requerido para realizar la misma actividad, como la habilitación de las viviendas, oficinas e industrias (Ej. aislamiento por mineral de roca, paneles uretina en plantas de ventilación, sistemas pasivos de iluminación infrarroja, vigas frías, lámparas de eficacia energética…).

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Relación entre el producto de energía aprovechable de un sistema, proceso o actividad de conversión y su aportación energética.

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Consumo de energía que se estima necesario para satisfacer la demanda energética del edificio en unas condiciones normales de funcionamiento y ocupación.
(Artº 1.3.a) RD 47/2007 de 19 de enero, por el que se aprueba el procedimiento básico para la certificación de eficiencia energética de edificios de nueva construcción).

El Niño-Southern Oscillation phenomenon

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A complex interaction of the tropical Pacific Ocean and the global atmosphere that results in irregularly occurring episodes of changed ocean and weather patterns in many parts of the world, often with significant impacts over many months, such as altered marine habitats, rainfall changes, floods, droughts, and changes in storm patterns.
Comment: The El Niño part of the El Niño-Southern Oscillation (ENSO) phenomenon refers to the wellabove- average ocean temperatures that occur along the coasts of Ecuador, Peru and northern Chile and
across the eastern equatorial Pacific Ocean, while La Niña part refers to the opposite circumstances when well-below-average ocean temperatures occur. The Southern Oscillation refers to the accompanying changes in the global air pressure patterns that are associated with the changed weather patterns experienced in different parts of the world.

Emergency management

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The organization and management of resources and responsibilities for addressing all aspects of emergencies, in particular preparedness, response and initial recovery steps.
Comment: A crisis or emergency is a threatening condition that requires urgent action. Effective emergency action can avoid the escalation of an event into a disaster. Emergency management involves plans and institutional arrangements to engage and guide the efforts of government, non-government, voluntary and private agencies in comprehensive and coordinated ways to respond to the entire spectrum of emergency needs. The expression “disaster management” is sometimes used instead of emergency management.

Emergency services

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The set of specialized agencies that have specific responsibilities and objectives in serving and protecting people and property in emergency situations.
Comment: Emergency services include agencies such as civil protection authorities, police, fire, ambulance, paramedic and emergency medicine services, Red Cross and Red Crescent societies, and specialized
emergency units of electricity, transportation, communications and other related services organizations.

Emisiones antropogénicas

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Emisiones de gases de efecto invernadero, de precursores de estos gases y de aerosoles, asociadas a las actividades humanas. Entre estas actividades se incluyen la quema de combustibles fósiles, la deforestación, los cambios en los usos del suelo, la agricultura, la ganadería, la gestión de residuos, etc. que tienen como resultado un incremento neto de dichas emisiones.

Emission - Emisión

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Descarga a la atmósfera continúa o discontinua de materias, sustancias o formas de energía procedentes, directa o indirectamente, de cualquier fuente susceptible de producir contaminación atmosférica.
(Artículo 3. Ley 34/2007, de 15 de noviembre, de calidad del aire y protección de la atmósfera).

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Émission en équivalent dioxyde de carbone (CO2) Quantité émise de dioxyde de carbone qui provoquerait le même forçage radiatif intégré, pour un horizon de temps donné, qu’une quantité émise d’un seul ou de plusieurs gaz à effet de serre. L’émission en équivalent dioxyde de carbone est obtenue en multipliant l’émission d’un gaz à effet de serre par son potentiel de réchauffement planétaire pour l’horizon de temps considéré. Dans le cas d’un mélange de gaz à effet de serre, l’émission en équivalent dioxyde de carbone est obtenue en additionnant les émissions d’équivalent dioxyde de carbone de chacun des gaz. Si l’émission en équivalent dioxyde de carbone est une mesure couramment utilisée pour la comparaison des émissions de différents gaz à effet de serre, elle n’implique cependant pas d’équivalence en ce qui concerne les réponses correspondantes du changement climatique. Voir aussi Concentration en équivalent CO2.

Empreinte écologique

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Outil de mesure de la pression qu’exerce l’homme sur la nature. Il consiste en une évaluation de la surface productive nécessaire à une population pour répondre à sa consommation de ressources et à ses besoins d’absorption de déchets.

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

La notion d’empreinte écologique fut proposée, entre autre, par le WWF International (Matthis Wackernagel et William Rees) afin d’être prise en compte dans les évaluations de richesse, de niveaux de vie. C’est dans ce contexte que furent également proposés des "indicateurs de pression exercée sur l’environnement". L’idée d’une nécessaire diminution de la pression exercée sur l’environnement devrait donc s’accompagner d’une dématérialisation (le fait d’utiliser moins de ressources par unité de PNB) de l’économie entendue comme "la diminution absolue ou relative de l’utilisation de ressource naturelle par unité de fonction ou de service".
Ainsi l’empreinte écologique mesure-t-elle la charge qu’impose à la nature une population donnée, elle dépend de sa capacité de charge. C’est un indicateur statistique qui permettrait d’évaluer la charge écologique d’une activité industrielle, d’un mode de vie, en déterminant la surface nécessaire de terres productives pour assurer l’exercice de cette activité, ou le niveau de vie acquis par un individu donné (sa consommation de ressources, ses besoins d’absorption de déchets). Telle que calculée par le WWF, l’unité de mesure de l’empreinte écologique est l’hectare global (hag) et l’empreinte écologique par personne est 5 à 6 fois plus élevée dans les pays à hauts revenus que dans les pays à faibles revenus. L’empreinte écologique peut être aussi mesurée à l’échelle de territoires, des individus.
De nombreuses critiques se sont élevées contre ce type d’indicateur, lui reprochant son aspect figé et qui fait fi des possibilités d’adaptation, de substitution, d’innovation technique et sociale. Au total, il manque de rigueur scientifique et il est surtout destiné à avoir un impact médiatique.

Endémique - Endémico

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Circunscrito a una localidad o región, o peculiar de una de ellas.

Energia final

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Energía refinada y apta para ser utilizada en todas las aplicaciones que demanda la sociedad. Los seis tipos principales de energía final son: gasóleos y gasolinas, hulla y antracita, gas natural canalizado, electricidad, biomasa y calor solar utilizable.

Energía geotérmica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Obtención de energía eléctrica, calor o frío, mediante agua procedente del interior de la corteza terrestre.

Energía limpia

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Término para describir la electricidad generada a partir de fuentes de energía primaria respetuosas con el medio ambiente.

Energía primaria

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Energía que no se ha sometido a ningún proceso de conversión.

Energía renovable

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Energía procedente de fuentes presentes en la naturaleza de modo continuo y prácticamente inagotable.

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Fuentes de energía que son sostenibles, dentro un marco temporal breve si compara con los ciclos naturales de la Tierra, e incluyen tecnologías no basadas en el carbono, como la solar, la hidrológica y la eólica, además de las tecnologías neutras en carbono, como la biomasa.
(Tercer Informe de Evaluación del IPCC, IPCC,2001)

Energía solar fotovoltaica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Energía de origen solar que se aprovecha para la producción de electricidad.

Energía solar térmica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Energía de origen solar que se aprovecha para la producción de agua caliente destinada al consumo humano, ya sea agua caliente sanitaria o calefacción. También puede emplearse para la producción de energía mecánica y, a partir de ella, de electricidad o para alimentar una máquina de refrigeración por absorción, que emplea calor en lugar de electricidad para producir frío.

Energie Renouvelable

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Energie produite à partir de ressources inépuisables telles que le vent, l’eau ou le soleil par opposition aux énergies fossiles qui, elles, sont produites à partir de ressources finies (gaz). Les différentes énergies renouvelables sont la chaleur et la lumière du soleil, l’hydroénergie, les éoliennes, la combustion de la biomasse, l’énergie géothermique et l’énergie marémotrice.

Enmienda orgánica

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

cualquier sustancia o producto orgánico capaz de modificar o mejorar las propiedades y las características físicas, químicas, biológicas o mecánicas del suelo.

Environmental degradation

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The reduction of the capacity of the environment to meet social and ecological objectives and needs.
Comment: Degradation of the environment can alter the frequency and intensity of natural hazards and increase the vulnerability of communities. The types of human-induced degradation are varied and include
land misuse, soil erosion and loss, desertification, wildland fires, loss of biodiversity, deforestation, mangrove destruction, land, water and air pollution, climate change, sea level rise and ozone depletion.

Environmental impact assessment

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Process by which the environmental consequences of a proposed project or programme are evaluated, undertaken as an integral part of planning and decisionmaking processes with a view to limiting or reducing the adverse impacts of the project or programme.
Comment: Environmental impact assessment is a policy tool that provides evidence and analysis of environmental impacts of activities from conception to decision-making. It is utilized extensively in national programming and project approval processes and for international development assistance projects. Environmental impact assessments should include detailed risk assessments and provide alternatives, solutions or options to deal with identified problems.

Environnement

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’environnement traite de la combinaison des éléments naturels (le champ de forces physico-chimiques et biotiques) et socio-économiques qui constituent le cadre et les conditions de vie d’un individu, d’une population, d’une communauté à différentes échelles spatiales. Ce vieux mot français qui vient du verbe "environner", dans le sens d’"entourer", qui évoque le contour, la totalité, les environs d’un lieu, a été employé par un certain nombre de géographes comme synonyme de "milieu géographique" (E. Reclus, A. Demangeon). Les deux termes seraient donc, d’un point de vue "géométrique", très différents alors que, de fait, ils ont une signification proche aux yeux du géographe.
Les Communautés européennes définissent l’environnement comme "l’ensemble des éléments qui dans la complexité de leurs relations constituent le cadre, le milieu et les conditions de vie pour l’homme". En droit français de l’environnement, le terme recouvre la nature, c’est-à-dire les espèces animales, végétales, les "équilibres" biologiques et les ressources naturelles (eau, air, sol, mines) ainsi que les sites et les paysages (loi du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature ; loi du 19 juillet 1976 concernant les installations classées pour la protection de l’environnement, première loi à utiliser le terme dans son titre). Cette approche un peu restrictive incite à parler de "géo-environnement" qui met l’accent sur les lieux et les formes d’inscription des groupes humains : ils agissent sur l’environnement et leurs actions entraînent des effets de chaîne, des rétroactions positives ou négatives.
D’autres disciplines enseignées sont partie prenante dans l’approche environnementale : les sciences de la matière (physique, chimie), les sciences de la vie et de la Terre (biologie, géologie, géophysique, climatologie), les sciences humaines (anthropologie, sociologie), les sciences économiques et juridiques. Pour la géographie les sociétés humaines et leurs aménagements sont parties intégrantes de l’environnement.

Equivalent carbone - Equivalent CO2

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Méthode de mesure des émissions de gaz à effet de serre qui prend en compte le pouvoir de réchauffement de chaque gaz relativement à celui du carbone ou du CO2. L’équivalent carbone est la mesure officielle" des émissions de gaz à effet de serre, même si beaucoup utilisent aussi « l’équivalent CO2 ».

Escalones urbanos

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Ámbitos espaciales (no siempre con correspondencia administrativa) en que se puede dividir jerárquicamente una estructura urbana desde un punto de vista funcional, en especial atendiendo al rango de las dotaciones: vecindario, barrio, barrio-ciudad, ciudad, área metropolitana, ciudad región, etc.

Escenario

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Descripción plausible de la evolución del futuro basada en un conjunto coherente e internamente consistente de hipótesis sobre fuerzas impulsoras fundamentales e interrelaciones entre diversos factores. Los escenarios no son predicciones ni pronósticos, pero son útiles para dar una idea de las implicaciones de determinados avances o acciones.

Espacios verdes

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Espacios naturales protegidos o cualquier tierra verde o agua dentro de un área urbana o bien lindando con ésta. Son áreas usadas para el recreo o tiempo libre, incluyendo áreas oficiales (parques y jardines), áreas extra oficiales (espacios abiertos y áreas de recreo), áreas naturales (bosques, áreas naturales y semi-naturales y terrenos de acceso), parcelas, instalaciones deporti¬vas e instalaciones para niños y jóvenes.

Etiqueta de eficiencia energética

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Distintivo que señala el nivel de calificación de eficiencia energética obtenida por el proyecto de un edificio o por el edificio terminado.
(Artº 1.3.g) RD 47/2007 de 19 de enero, por el que se aprueba el procedimiento básico para la certificación de eficiencia energética de edificios de nueva construcción).

Etiqueta verde

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Etiqueta adherida a aquellos productos comercializados en la Unión Europea que son más respetuo¬sos con el medio amiente, con el objetivo de estimular a los consumidores a comprarlos. La etiqueta muestra una flor con el símbolo de la UE y la llevan aquellos productos que han sido verificados por organismos independientes que garantizan el cumplimiento de criterios estrictos relativos al medio ambiente y a las prestaciones del producto. Se trata de una iniciativa del Comité de Etiqueta Ecológi¬ca de la Unión Europea (EEUE), con el apoyo de la Comisión Europea y de todos los Estados miembros de la Unión Europea y del Espacio Económico Europeo (EEE). En dicho Comité están representados la industria, los grupos de protección del medio ambiente y las organizaciones de consumidores

Exposure

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

People, property, systems, or other elements present in hazard zones that are thereby subject to potential losses.
Comment: Measures of exposure can include the number of people or types of assets in an area. These can be combined with the specific vulnerability of the exposed elements to any particular hazard to estimate the quantitative risks associated with that hazard in the area of interest.

Extensive risk

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The widespread risk associated with the exposure of dispersed populations to repeated or persistent hazard conditions of low or moderate intensity, often of a highly localized nature, which can lead to debilitating cumulative disaster impacts.
Comment: Extensive risk is mainly a characteristic of rural areas and urban margins where communities are exposed to, and vulnerable to, recurring localised floods, landslides storms or drought. Extensive risk
is often associated with poverty, urbanization and environmental degradation. See also “Intensive risk”.

Externalidad

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Todo efecto producido por una acción, que no era buscado en los objetivos de la misma.
(Artículo 3. Ley 42/2007, de 13 de diciembre, del patrimonio natural y de la biodiversidad).

f

Facteur 4

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Objectif de diviser par 4 d’ici 2050 les émissions de gaz à effet de serre (par rapport à 1990) des pays industrialisés afin de limiter le réchauffement climatique à une augmentation moyenne de 2°C.

Forçage externe

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Se rapporte à un agent de forçage extérieur au système climatique qui provoque un changement dans ce dernier. Les éruptions volcaniques, les variations de l’activité solaire, les changements anthropiques de la composition de l’atmosphère ainsi que les changements d’affectation des terres sont des forçages externes. Le forçage orbital est également un forçage externe, l’insolation variant en fonction des caractéristiques de l’orbite de la Terre (excentricité, obliquité, précession des équinoxes).

Forçage radiatif

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Variation du flux de rayonnement résultant (différence entre l’éclairement descendant et l’éclairement ascendant, exprimée en W m–2), à la tropopause ou au sommet de l’atmosphère, due à une modification d’un agent externe du changement climatique, par exemple une modification de la concentration de dioxyde de carbone ou du rayonnement solaire. Parfois encore, on parle de forçage en se référant à des facteurs internes, alors que ceux ci découlent de l’altération du climat, notamment les variations touchant les aérosols ou les gaz à effet de serre dans les paléoclimats. D’ordinaire, on calcule le forçage radiatif après avoir laissé les températures stratosphériques éventuellement perturbées se réajuster à l’équilibre radiatif dynamique, en maintenant toutefois toutes les propriétés troposphériques à leurs valeurs non perturbées. Le forçage radiatif est dit instantané si on ne tient pas compte du changement de température dans la stratosphère. Une fois les ajustements rapides pris en compte, on parle alors de forçage radiatif effectif. Pour les besoins du présent rapport, le forçage radiatif est en outre défini comme le changement par rapport à l’année 1750 et, sauf indication contraire, se rapporte à une valeur moyenne annuelle à l’échelle du globe. Le forçage radiatif ne doit pas être confondu avec le forçage radiatif dû aux nuages, expression analogue servant à décrire une mesure, sans réel rapport, de l’incidence des nuages sur le flux du rayonnement au sommet de l’atmosphère.

Forecast

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Definite statement or statistical estimate of the likely occurrence of a future event or conditions for a specific area.
Comment: In meteorology a forecast refers to a future condition, whereas a warning refers to a potentially dangerous future condition.

Fuentes sostenibles

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Son los factores a tener en cuenta de tipo ambiental, social y económico que se han incorpo¬rado en los procesos de obtención de materiales de construcción, decoraciones de interior y proveedores. (ej. madera sostenible, pinturas).

g

Geological hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Geological process or phenomenon that may cause loss of life, injury or other health impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or environmental damage.
Comment: Geological hazards include internal earth processes, such as earthquakes, volcanic activity and emissions, and related geophysical processes such as mass movements, landslides, rockslides, surface collapses, and debris or mud flows. Hydrometeorological factors are important contributors to some of these processes. Tsunamis are difficult to categorize; although they are triggered by undersea earthquakes and other geological events, they are essentially an oceanic process that is manifested as a coastal water-related hazard.

Gestión de residuos urbanos

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Conjunto de actividades encaminadas a dar a los residuos sólidos urbanos el destino más ade¬cuado de acuerdo con sus características, para la protección de la salud humana, los recursos naturales y el medio ambiente. Comprende las operaciones de recogida, almacenamiento, trans¬porte, tratamiento y transformación o eliminación, así como las necesarias para su reutilización, recuperación o reciclaje.

Gestión del riesgo de desastres

NU1

SOURCE:Naciones Unidas, Manuel para líderes locales de los gobiernos locales. Una construcción a la campaña mundial 2010-2015 – Desarrollando ciudades resilientes – mi ciudad se está preparando. (International)

es el proceso sistemático de utilizar directrices administrativas, organizaciones, destrezas y capacidades operativas para ejecutar políticas y fortalecer las capacidades de afrontamiento, con el fin de reducir el impacto adverso de las amenazas naturales y la posibilidad de que ocurra un desastre. Busca evitar, disminuir o transferir los efectos adversos de las amenazas mediante actividades y medidas de prevención, mitigación y preparación. (UNISDR).

GIEC - IPCC

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

IPCC : Siglas en inglés del Panel Internacional de Cambio Climático, organismo creado por la Organización Meteorológica Mundial y el Programa de Medioambiente de las Naciones Unidas para mejorar y evaluar la información científica, técnica y socioeconómica relevante para la comprensión del cambio climático, sus potenciales impactos y las opciones de adaptación y mitigación. Tanto por su metodología de trabajo como por el proceso participativo al que someten sus informes, el IPCC constituye la fuente científica más reconocida en materia de cambio climático.

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Grupo Intergubernamental de Expertos sobre el Cambio Climático : Constituido en 1988 por la Organización Mundial de Meteorología (WMO) y el Programa de Medio Ambiente de Naciones Unidas (UNEP), actúa como punto de referencia en cuanto al conocimiento científico, los impactos del cambio climático y las acciones de adaptación y mitigación sobre este fenómeno. Está constituido por un grupo de importantes científicos dedicados a la climatología que han llevado a cabo estudios sobre las causas de tal cambio, las maneras de reducirlo y los posibles impactos sobre las diferentes regiones en los próximos 100 años. La primera evaluación de los costes económicos del cambio climático fue realizada por el economista Sir Nicholas Stern en 2006 (The Stern Review), en un informe solicitado por el gobierno británico.

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Le GIEC, fondé en 1988 dans le cadre de l’ONU et à la demande du G7, par l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), rassemble des groupes d’experts dont le rôle est d’évaluer les informations scientifiques, techniques et socio-économiques pour analyser, comprendre et prévenir les risques de changements climatiques imputables à l’homme.
Le GIEC est organisé en trois groupes de travail qui étudient : les principes physiques et écologiques du changement climatique (groupe I) ; les impacts, la vulnérabilité et l’adaptation au changement climatique (groupe II) ; les moyens d’atténuer (mitigation) le changement climatique (groupe III). Il publie tous les cinq ou six ans des rapports de synthèse sur l’état des connaissances scientifiques concernant le changement climatique global. Ces rapports sont approuvés en assemblée plénière, ils sont donc le reflet d’un consensus partagé par une large communauté scientifique.

Le GIEC a publié quatre rapports depuis 1990. Le second rapport, en 1995, a fourni les fondements de négociation du protocole de Kyoto. Le troisième rapport (2001) envisageait, sur la base de modélisations et de simulations, un réchauffement moyen du climat de la Terre à l’horizon 2100 compris entre 1,4°C et 5,8°C. Le quatrième rapport a confirmé, en 2007, l’existence non équivoque du réchauffement climatique, avec une fourchette d’évolution des températures de 1,1 à 6,4°C à l’horizon 2100 ainsi que la "forte probabilité" (à plus de 90% selon le GIEC) qu’il soit lié aux émissions anthropiques de GES, à la différence du précédent rapport qui n’évoquait que la "probabilité"). Il mettait l’accent sur les moyens d’action, le groupe III insistant sur le potentiel économique important de réduction des émissions. Le prochain rapport du GIEC est programmé pour 2014.

La progression dans la connaissance et la compréhension des incertitudes est nécessaire pour optimiser les choix stratégiques. Parallèlement, les impacts régionaux des changements climatiques devront être évalués, en veillant à les traduire en termes physiques, territoriaux, économiques et sociaux, ce qui suppose de créer un langage commun aux climatologues, aux économistes, aux écologues, aux géographes.

Alors que le prestige et l’autorité du GIEC sur le débat scientifique mondial semblaient au plus haut à la veille de la conférence de Copenhague en décembre 2010, la révélation médiatisée de dysfonctionnements et d’erreurs (surestimation du rythme de retrait des glaciers himalayens, diffusion de messages attestant de désaccords au sein de la communauté scientifique, etc.) ont jeté un certain discrédit sur son expertise et le "climato-scepticisme" a pu marquer des points. Pour restaurer sa crédibilité, une réforme du fonctionnement du GIEC pourrait être adoptée : ses moyens seraient renforcés (il n’emploie qu’une dizaine de personnes à ce jour) afin de lui permettre de mieux expertiser et valider les matériaux scientifiques sur lesquels il s’appuie ; dans un meilleur souci de transparence, les points de vue minoritaires auraient la possibilité d’être mieux représentés et diffusés.

Globalisation / Globalización

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Integración e interpendencia crecientes de los países del mundo, debidas al mayor volumen y diversidad de las transacciones transfronterizas de bienes y servicios, a la libertad de circulación de capitales entre países y a la mayor rapidez y extensión con que se difunden la tecnología, la información, el conocimiento y la cultura.

Gobernanza

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Forma de ejercicio del gobierno, en sus distintas escalas, incluyendo las instituciones formales y los acuerdos informales entre los distintos individuos, la sociedad civil, los agentes privados y las instituciones para acomodar o coordinar intereses diversos y potencialmente conflictivos y adoptar alguna acción cooperativa. Se trata en definitiva de una nueva forma de ejercicio del gobierno en la que la coherencia de la acción pública (la definición de problemas, la toma de decisiones y su ejecución) no pasa por la acción aislada de una elite político-administrativa relativamente homogénea y centralizada, sino por la adopción de formas de coordinación entre los distintos niveles y los distintos actores, definiendo un espacio común, movilizando a expertos y agentes de orígenes diversos e implantando modos de responsabilización y de legitimación de las decisiones.

Según el Libro de la Gobernanza Europea, sus principios son: apertura, participación, responsabilidad, eficacia y coherencia.

Greenhouse gases / Gaz à effet de serre (GES), Gaz atmosphérique / Gas de efecto invernadero

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Gas que absorbe y emite radiación en determinadas longitudes de ondas del espectro de radiación infrarroja emitido por la superficie de la Tierra, la atmósfera y las nubes. Esta propiedad afecta al balance energético global del planeta, ya que su presencia en la atmósfera impide que el planeta libere este tipo de radiación al espacio, incrementando la temperatura global (fenómeno que se conoce como efecto invernadero).
Aunque pueden incluirse en este grupo gases como el vapor de agua y el ozono, generalmente se reserva esta denominación a aquellos que tienen una vida media y un efecto suficientemente importante como los siguientes: dióxido de carbono, metano, óxido nitroso, hidrofluorocarbonos, compuestos perfluorinados, éteres fluorinados, perfluropolieteres y otros compuestos con efectos directos sobre el clima.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Constituants gazeux de l’atmosphère, tant naturels qu’anthropiques, qui absorbent et émettent un rayonnement à des longueurs d’onde données du spectre du rayonnement terrestre émis par la surface de la Terre, l’atmosphère et les nuages. C’est cette propriété qui est à l’origine de l’effet de serre. La vapeur d’eau (H2O), le dioxyde de carbone (CO2), l’oxyde nitreux (N2O), le méthane (CH4) et l’ozone (O3) sont les principaux gaz à effet de serre présents dans l’atmosphère terrestre. Il existe également des gaz à effet de serre résultant uniquement des activités humaines, tels que les hydrocarbures halogénés et autres substances contenant du chlore et du brome, dont traite le Protocole de Montréal. Outre le CO2, le N2O et le CH4, le Protocole de Kyoto traite, quant à lui, d’autres gaz à effet de serre tels que l’hexafluorure de soufre (SF6), les hydrofluorocarbones (HFC) et les hydrocarbures perfluorés (PFC). Voir la liste des gaz à effet de serre au mélange homogène, tableau 2.A.1.

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Gaseous constituents of the atmosphere, both natural and anthropogenic, that absorb and emit radiation of thermal infrared radiation emitted by the Earth’s surface, the atmosphere itself, and by clouds.
Comment: This is the definition of the Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). The main greenhouse gases (GHG) are water vapour, carbon dioxide, nitrous oxide, methane and ozone.

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Gaz qui contribuent par leurs propriétés physiques à l’effet de serre. L’augmentation de leur concentration dans l’atmosphère terrestre est à l’origine du réchauffement climatique. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau (H2O), qui représente 70 % des émissions de GES et dont la quasi-totalité des émissions est d’origine naturelle (cycle de l’eau). Les autres agents de l’augmentation de l’effet de serre sont par exemple le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), ou le protoxyde d’azote (N20).

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

L’effet de serre est une conséquence tout à fait naturelle de l’enveloppe de protection atmosphérique de la Terre. La question est de savoir dans quelle mesure, de quelle manière, les rejets de GES consécutifs à l’activité humaine peuvent l’amplifier (scénarios plus ou moins catastrophistes majoritaires dans les médias et dans une partie de la communauté scientifique) ou le diminuer (scénario évoqué par une part beaucoup plus réduite de la communauté scientifique). Les séries climatiques fondées sur des enregistrements homogènes et comparables datent, au mieux, de 1880. Souvent ces stations sont concernées par un îlot de chaleur urbain ce qui fausse l’intérêt des données. Elles font apparaître des augmentations de température peu significatives à l’échelle globale. Les responsabilités respectives des rejets atmosphériques anthropiques et des phénomènes purement naturels sont en débat mais le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC / IPCC- Intergovernmental Panel on Climate Change) s’est efforcé de dégager un consensus dans ses derniers rapports (2001, 2007).

Les gaz à effet de serre (GES) absorbent le rayonnement infrarouge émis ou renvoyé par la surface de la Terre ce qui augmente sa température, supérieure à ce qu’elle serait en l’absence des GES. Si ce réchauffement lié à l’effet de serre n’existait pas, la température moyenne de la surface terrestre, de +15°C de nos jours, serait de -18°C. Ces GES sont la vapeur d’eau (comprenant les nuages) dont l’influence sur l’effet de serre est évaluée à environ 65% du total, puis le dioxyde de carbone (CO2, gaz carbonique) qui intervient pour environ 20%. Les 15% restants sont dus à l’ozone de la troposphère, au protoxyde d’azote (N2O), au méthane (CH4) et enfin à d’autres gaz en petites quantités dont différents gaz fluorés (CFC, PFC, SF6).
Notons enfin que l’ozone (O3) stratosphérique absorbe une grande partie des radiations ultraviolettes (UV) dangereuses pour la vie des organismes vivants sur Terre et que l’atmosphère terrestre contient aussi des aérosols.

Les politiques de réduction des gaz à effet de serre (Protocole de Kyoto) portent, jusqu’à présent, avant tout sur la réduction des émissions de CO2 ("décarbonisation"). L’adoption progressive de politiques à l’échelle nationale et à l’échelle européenne soulève diverses interrogations relatives à la difficulté de comptabiliser et de quantifier les "puits de carbone" (forêt, agriculture). Les mesures adoptées, différentes selon les pays, pourraient induire des distorsions en termes de concurrence internationale.

Grenelle de l’Environnement

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

En France, le "Grenelle Environnement" (aussi dénommé "de l’environnement") a traduit la volonté officielle de refonder une politique en faveur de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables en 2009. Explicitement, il s’agissait de se conformer, et même au-delà, aux recommandations du protocole de Kyoto et de la politique environnementale de l’Union européenne. Mais il s’agissait aussi d’accéder à une meilleure indépendance énergétique et d’économiser au mieux des ressources épuisables et importées. Le Grenelle Environnement a été précédé d’un Programme national de lutte contre le changement climatique élaboré en 2000, destiné à réduire les émissions de gaz à effet de serre sur la période 2000–2010, poursuivi à partir de 2004 par le Plan Climat dont l’objectif était de respecter, et même de dépasser, l’objectif du Protocole de Kyoto pour un pays comme la France : stabiliser les émissions de GES par rapport à 1990 sur la période 2008-2012.
La loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle Environnement ou loi "Grenelle 1", a été promulguée le 3 août 2009. Ses objectifs sont beaucoup plus globaux et multithématiques que ceux des plans qui l’ont précédé.
Cette loi cadre doit être accompagnée d’une loi d’application, la loi d’Engagement national pour l’environnement (ENE ou Grenelle 2), composée de mesures plus détaillées qui permettront l’application des principes édictés dans le Grenelle 1. Le projet, transmis à l’Assemblée nationale le 9 octobre 2009 après son passage devant le Sénat, est organisé en six titres (bâtiments et urbanisme, transports, énergie, biodiversité, risques santé et déchets, et enfin gouvernance) et comporte 104 articles constituant la "boîte à outils" juridiques, réglementaires et économiques (fiscalité, fonds dédiés, contrats de projet) nécessaires à l’application des grands principes et objectifs de la loi Grenelle 1. Cependant, en mars 2010, son adoption par le Parlement était retardée.
En théorie, le Grenelle 2 devrait être suivi par le Grenelle 3, consacré notamment aux pratiques agricoles et à la gouvernance et un Plan national d’adaptation aux évolutions climatiques devrait être arrêté début 2011. Ce plan devrait rassembler des orientations sur des sujets comme la lutte contre les inondations et l’adaptation des zones littorales, l’évolution des forêts, la question de l’eau et l’adaptation de l’économie. Il doit trouver sa déclinaison territoriale dans les Schéma régional du climat, de l’air et de l’énergie (SRCAE) et les Plans climat énergie territoriaux (PCET).

Parallèlement au Grenelle Environnement, à l’issue de plusieurs semaines de concertation, un "Livre bleu" a rassemblé 138 engagements en faveur de la mer et du littoral : création d’une "trame bleu marine", reliant les estuaires ; développement des aires marines protégées afin qu’elles représentent 10% de la ZEE française en 2012 et 20% en 2020 ; inscription à la CITES du thon rouge et du requin taupe, etc.. Ce "Grenelle de la mer" devrait permettre de compléter les engagements du Grenelle Environnement pour les espaces maritimes et littoraux et de contribuer à la définition d’une stratégie nationale pour la mer et le littoral.

En 2010, les donnes politiques nationale, européenne ou mondiale ont évolué et d’importantes incertitudes planent sur une partie, plus ou moins large, de ces engagements. Les sénateurs ont adopté le projet de loi ENE. Le texte doit être examiné par les députés au mois de mai 2010 et ses ambitions initiales seront probablement revues à la baisse.

Grenelle de la Mer

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Le "Grenelle de la Mer", lancé en 2009, a pour but de compléter les engagements du Grenelle Environnement pour les espaces maritimes et littoraux et de contribuer à la définition d’une stratégie nationale pour la mer et le littoral. Il marque l’esquisse d’une prise de conscience forte de la place des océans et des littoraux dans le développement durable de la part de la France, puissance maritime qui possède la 2ème ZEE du monde, 10 % de la biodiversité marine, 20 % des atolls..
Issu d’une phase de concertation entre État, collectivités locales, entreprises, représentants des salariés et associations de protection de l’environnement, le "Livre Bleu des engagements du Grenelle de la Mer" rassemble 137 engagements en faveur de la mer et du littoral : appui aux énergies marines renouvelables, création d’une "trame bleu marine", reliant les estuaires ; développement des aires marines protégées afin qu’elles représentent 10 % de la ZEE française en 2012 et 20 % en 2020 ; inscription à la CITES du thon rouge et du requin taupe, etc..
Il reste à traduire en mesures le volontarisme des "engagements" du Grenelle de la mer de 2009.

Grupo de interés

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Los grupos de interés, partes interesadas o stakeholders son los grupos sociales e individuos a quienes incumbe de un modo u otro la existencia y la acción de una empresa, con un interés legítimo, directo o indirecto, por su funcionamiento, y que influyen en la consecución de los objetivos marcados y en su supervivencia. También pueden identificarse como un grupo de interés las generaciones futuras. Son ejemplos de grupos de interés: los trabajadores, los accionistas/propietarios, los socios de negocio, los clientes, los proveedores, los agentes sociales, las administraciones públicas, la comunidad local, la sociedad y el público en general, el medio ambiente y las generaciones futuras.

h

Hábitat

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Entorno o lugar de residencia natural de una planta, animal o grupo de organismos estrechamente relacionados.

Haute performance énergétique (HPE)

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Label décerné aux appartements ou maisons individuelles présentant des performances énergétiques allant au-delà de celles imposées par la réglementation thermique en vigueur. Voir également Bâtiment basse consommation.

Haute Qualité Environnementale - HQE®

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Démarche visant à limiter les impacts environnementaux des opérations de construction ou de rénovation des bâtiments. Elle est construite autour de quatorze exigences (ou « cibles »), portant sur l’éco-construction, l’éco-gestion, le confort et la santé.

Hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A dangerous phenomenon, substance, human activity or condition that may cause loss of life, injury or other health impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or
environmental damage.
Comment: The hazards of concern to disaster risk reduction as stated in footnote 3 of the Hyogo Framework are “… hazards of natural origin and related environmental and technological hazards and risks.” Such hazards arise from a variety of geological, meteorological, hydrological, oceanic, biological, and technological sources, sometimes acting in combination. In technical settings, hazards are described quantitatively by the likely frequency of occurrence of different intensities for different areas, as determined from historical data or scientific analysis.

Huella ecológica

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Superficie ecológicamente productiva (cultivos, pastos, bosques o ecosistemas acuáticos), necesaria para producir los recursos empleados y asimilar los desechos generados por una población determinada con un nivel de vida específico y de forma indefinida. La superficie de la huella ecológica puede ser discontinua y dispersa, sin importar el lugar del planeta en que se encuentre.
(A partir de Wackernagel y Rees, 1996, “Our Ecological Footprint: Reducing Human Impact on the Earth”).

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Indicador agregado cuyo objetivo fundamental consiste en evaluar el impacto sobre el planeta de un determinado modo o forma de vida. Es decir, traduce en términos de super¬ficie de terreno la cantidad de recursos y sumideros que necesitamos para poder realizar todas las actividades de la vida diaria. Se trata de la zona ecológicamente productiva o ecosistema necesario para obtener recursos, materiales y energía, así como para absorber los residuos generados por una población definida. La huella ecológica proporciona una herramienta contable para determinar hasta qué punto estamos erosionando la disponi¬bilidad del capital de la naturaleza.

Hydrometeorological hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Process or phenomenon of atmospheric, hydrological or oceanographic nature that may cause loss of life, injury or other health impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or environmental damage.
Comment: Hydrometeorological hazards include tropical cyclones (also known as typhoons and hurricanes), thunderstorms, hailstorms, tornados, blizzards, heavy snowfall, avalanches, coastal storm surges, floods including flash floods, drought, heatwaves and cold spells. Hydrometeorological conditions also can be a factor in other hazards such as landslides, wildland fires, locust plagues, epidemics, and in the transport and dispersal of toxic substances and volcanic eruption material

i

Ilot de chaleur urbain

FUT

SOURCE:Magazine : Futura environnement . par Futura-Sciences - Environnement / Dictionnaire. (France)

Elévation de température localisée en milieu urbain par rapport aux zones rurales voisines. Les îlots thermiques sont des microclimats artificiels provoqués par les activités humaines (centrales énergétiques, échangeurs de chaleur...) et l’urbanisme (surfaces sombres qui absorbent la chaleur, comme le goudron).
Ce phénomène peut aggraver les épisodes de canicule et affecter la biodiversité, en repoussant certaines espèces et en attirant d’autres espèces plus thermophiles.

Impacto climático

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Consecuencia positiva o negativa del cambio climático sobre los sistemas naturales y humanos.

Incertitude / Incertidumbre

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Descriptor de la calidad del conocimiento humano asociado a un riesgo o del grado de desconocimiento de un valor (por ejemplo el estado futuro del sistema climático). La incertidumbre puede derivarse de la falta de información o de las discrepancias en cuanto a lo que se sabe a lo que es posible saber. Puede tener muy diversos orígenes: errores cuantificables en los datos, ambigüedades en la definición de conceptos o en la terminología, inseguridad en las proyecciones del comportamiento humano, etc.

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Degré de connaissance incomplète pouvant découler d’un manque d’information ou d’un désaccord sur ce qui est connu, voire connaissable. L’incertitude peut avoir des origines diverses et résulter ainsi d’une imprécision dans les données, d’une ambigüité dans la définition des concepts ou de la terminologie employés ou encore de projections incertaines du comportement humain. L’incertitude peut donc être représentée par des mesures quantitatives (ex.: une fonction de densité de probabilité) ou par des énoncés qualitatifs (reflétant par exemple l’opinion d’une équipe d’experts). (Voir Moss et Schneider, 2000; Manning et al., 2004; Mastrandrea et al., 2010.) Voir aussi Confiance; Probabilité. Indice climatique Série chronologique établie à partir de variables climatiques qui constitue un résumé global de l’état du système climatique. Par exemple, la différence entre la pression au niveau de la mer en Islande et aux Açores fournit un indice historique simple mais utile de l’oscillation nordatlantique (NAO). Compte tenu de leurs propriétés optimales, les indices du climat sont souvent définis à l’aide de composantes principales – combinaisons linéaires de variables climatiques à différents emplacements présentant une variance maximale en fonction de certaines contraintes de normalisation (ex.: les indices NAM et SAM sont les composantes principales des anomalies de pression aux points de grille respectivement dans l’hémisphère boréal et dans l’hémisphère austral). Voir l’encadré 2.5 dans lequel figure un résumé des définitions d’indices d’observation connus. Voir aussi Configuration du climat. Inertie du changement climatique En raison de l’inertie thermique des océans et de la lenteur des processus propres à la cryosphère et aux terres émergées, le climat continuerait de changer même si la composition de l’atmosphère se maintenait aux valeurs observées aujourd’hui. L’évolution passée de la composition de l’atmosphère se traduit par un changement climatique engagé qui durera tant que le déséquilibre radiatif persistera et jusqu’à ce que toutes les composantes du système climatique se soient ajustées à ce nouvel état. Le changement de température qui interviendra après que la composition de l’atmosphère aura été maintenue constante est désigné sous l’appellation inertie thermique à composition constante ou simplement réchauffement engagé ou inertie du réchauffement. L’inertie du changement climatique entraînera également d’autres changements qui toucheront notamment le cycle hydrologique, les phénomènes météorologiques extrêmes, les phénomènes climatiques extrêmes et les variations du niveau de la mer. On parlera d’inertie pour des émissions constantes pour désigner le changement climatique inertiel qui résulterait d’une stabilisation des émissions anthropiques et d’inertie pour des émissions nulles pour désigner le changement climatique inertiel qui résulterait d’un arrêt de ces émissions. Voir aussi Changement climatique.

Indicador de sostenibilidad

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Instrumentos cuantitativos o cualitativos para evaluar la sostenibilidad urbana. De manera particular, se emplean para evaluar el nivel de desarrollo, eficiencia y rendimiento de las actuaciones ambientales contempladas en un Plan de Acción Ambiental.

Infraestructura ecológica

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Red de espacios con vegetación natural, ajardinada o agrícola, que conecta y enlaza la ciudad con el territorio, de modo que posibilita el movimiento y la dispersión de los organismos y el mantenimiento de los procesos ecológicos y de los flujos que los caracterizan. Actúa como recurso multifuncional que ofrece servicios ecológicos, ambientales, sociales y económicos, y convierte la ciudad en un lugar más fértil y resiliente.

Initialisation d’un modèle

IPCC

SOURCE:GIEC – Groupe d’Experts Intergouvernementaux sur l’Évolution du Climat – Changement climatique 2013 – Les éléments scientifiques – Groupe de Travail 1, OMM, PNUE, 213, 222p.

Pour établir une prévision climatique, on procède à une intégration du modèle climatique dans le temps à partir d’un état initial censé reproduire l’état présent du système climatique. Les observations dont on dispose s’agissant du système climatique sont «assimilées» dans le modèle. L’initialisation est un processus complexe dont la qualité dépend de la disponibilité des observations, des erreurs d’observation et, en fonction de la méthode employée, de l’incertitude propre à l’historique du forçage climatique. Les conditions initiales contiennent des erreurs qui prennent de l’ampleur plus les conditions prévues s’en éloignent dans le temps, ce qui fixe une limite à la période pour laquelle la prévision est utile. Voir aussi Prévision climatique. Insolation Quantité de rayonnement solaire, mesurée en W m–2, atteignant la Terre en fonction de la latitude et de la saison. L’insolation désigne habituellement le rayonnement solaire au moment de sa pénétration dans l’atmosphère, mais aussi parfois le rayonnement arrivant à la surface de la Terre. Voir également Éclairement énergétique solaire total. Interaction aérosols-nuages Processus par lequel une perturbation des aérosols influe sur les propriétés microphysiques et sur le développement des nuages, les aérosols servant de noyaux de condensation des nuages ou de noyaux glaciogènes, en particulier par un effet sur le rayonnement et les précipitations; cela peut comprendre aussi l’effet des nuages et des précipitations sur les aérosols. La perturbation des aérosols peut être d’origine anthropique ou naturelle. Le forçage radiatif de ce type d’interaction est habituellement attribué à de nombreux effets indirects des aérosols, mais, dans le présent rapport, il n’est établi de distinction qu’entre deux niveaux de forçage (ou effet) radiatif: Forçage (ou effet) radiatif dû aux interactions aérosols-nuages (FRian) Forçage radiatif (ou effet radiatif, quand la perturbation découle de facteurs internes) causé par une modification de la concentration ou de la granulométrie des gouttelettes nuageuses ou des cristaux de glace résultant immédiatement de la perturbation des aérosols, les autres variables demeurant par ailleurs égales (en particulier la teneur en eau totale des nuages). Dans les nuages liquides, une augmentation de la concentration et de la superficie des gouttelettes nuageuses se traduit par une augmentation de l’albédo des nuages. Cet effet est connu sous les noms suivants: effet sur l’albédo des nuages, premier effet indirect ou effet Twomey. Il s’agit en grande partie d’une notion théorique qui n’est pas facile à isoler dans les observations ou les modèles de l’ensemble du processus en raison de la célérité et de l’ubiquité des ajustements rapides. Forçage (ou effet) radiatif effectif dû aux interactions aérosols nuages (FREian) Forçage (ou effet) radiatif final émanant de la perturbation des aérosols et comprenant les ajustements rapides à la modification initiale portant sur la vitesse de formation des gouttelettes ou des cristaux. Ces ajustements comprennent les changements touchant l’intensité de la convection, l’efficacité des précipitations, la nébulosité, la durée de vie et la teneur en eau des nuages, et la formation ou la disparition des nuages dans des zones isolées, en raison d’altérations de la circulation. Le forçage radiatif effectif total résultant à la fois des interactions aérosols-nuages et aérosols-rayonnement se nomme forçage radiatif effectif des aérosols (FREiar+ian). Voir aussi Interaction aérosols-rayonnement. Interaction aérosols-rayonnement Action directe des aérosols sur le rayonnement produisant des effets radiatifs. Dans le présent rapport, il est établi une distinction entre deux niveaux de forçage (ou effet) radiatif: Forçage (ou effet) radiatif dû aux interactions aérosols-rayonnement (FRiar) Forçage radiatif (ou effet radiatif, quand la perturbation découle de facteurs internes) résultant d’une perturbation des aérosols, causé directement par les interactions aérosols-rayonnement, toutes les autres variables environnementales demeurant par ailleurs égales. Dans la littérature, on parle en général de forçage (ou effet) direct des aérosols. Forçage (ou effet) radiatif effectif dû aux interactions aérosolsrayonnement (FREiar) Forçage (ou effet) radiatif final émanant de la perturbation des aérosols et comprenant les ajustements rapides à la modification initiale du rayonnement. Ces ajustements comprennent les changements touchant les nuages qui découlent de l’effet du réchauffement radiatif sur la circulation convective ou sur la circulation atmosphérique à grande échelle. Ce forçage est habituellement appelé forçage (ou effet) semi-direct des aérosols. Le forçage radiatif effectif total résultant à la fois des interactions aérosolsnuages et aérosols-rayonnement se nomme forçage radiatif effectif des aérosols (FREiar+ian). Voir aussi Interaction aérosols-nuages. 195 Glossaire Glossaire Irréversibilité L’état perturbé d’un système dynamique est dit irréversible à une échelle de temps donnée, quand la durée nécessaire pour que le système retrouve son état normal par un processus naturel est nettement plus longue que le temps qu’il faut pour que le système atteigne cet état perturbé. Dans le domaine qui intéresse le Groupe de travail I, l’échelle de temps en question se situe entre le siècle et le millénaire.

Voir aussi Point de bascule.

Installation Classée pour la Protection de l’Environnement (ICPE)

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Installation industrielle ou agricole présentant des dangers ou des inconvénients pour l’environnement (loi du 11/07/1976). On distingue les ICPE soumises à déclaration et contrôle périodique, les ICPE soumises à autorisation et les ICPE soumises à autorisation et servitude d’utilité publique.

Intensive risk

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The risk associated with the exposure of large concentrations of people and economic activities to intense hazard events, which can lead to potentially catastrophic disaster impacts involving high mortality and asset
loss.
Comment: Intensive risk is mainly a characteristic of large cities or densely populated areas that are not only exposed to intense hazards such as strong earthquakes, active volcanoes, heavy floods, tsunamis, or major storms but also have high levels of vulnerability to these hazards. See also “Extensive risk.”

Isla de calor

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Área urbana caracterizada por una temperatura ambiente superior a la del área circundante. Tiene su origen en una mayor absorción de energía solar por ciertos materiales urbanos, como el asfalto.

k

Kyoto (Protocole/o de)

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Adopté en décembre 1997, ce protocole à la Convention cadre des Nations-Unies sur le changement climatique met en lumière la nouvelle attitude de la communauté internationale face à l’environnement global. En effet, en vertu de ce protocole, les pays industrialisés se sont engagés à réduire d’au moins 5,2% leurs émissions de six gaz à effet de serre (GES : dioxyde de carbone, méthane, oxyde nitreux, hydrofluorocarbone, hydrocarbure perfluoré et hexafluorure de soufre) par rapport aux niveaux de 1990, pendant la période 2008-2012.
Pour que le protocole de Kyoto entre en vigueur, il fallait : qu’au moins 55 pays ratifient le traité (condition atteinte le 23 mai 2002 avec la ratification par l’Islande) ; que tous les pays l’ayant ratifié émettent au total au moins 55% des émissions de CO2 de 1990 (condition atteinte le 18 novembre 2004 avec la ratification par la Russie). L’entrée en vigueur du protocole est intervenue le 16 février 2005 pour les pays l’ayant ratifié.
L’article 17 du Protocole organise un marché de permis d’émission. Son principe consiste à allouer aux "pollueurs" (des États à l’échelle internationale aux entreprises à l’échelle nationale) gratuitement, à prix fixe ou aux enchères, des quotas d’émissions de CO2 que ceux-ci peuvent ensuite s’échanger. Chaque émetteur de CO2 doit alors s’assurer qu’il détient autant de permis d’émission que ce qu’il va émettre. Dans le cas contraire, il doit, soit réduire ses émissions, soit acheter des permis. Inversement, s’il possède des excédents de permis, il peut les vendre. Ce mécanisme de marché devrait contraindre les agents économiques à réduire leurs émissions de CO2 et il pourrait entraîner la réduction d’autres GES.
Les mécanismes de flexibilité géographique (ou mécanismes de Kyoto) permettent à plusieurs pays de coopérer en échangeant entre eux des permis ou des crédits d’émissions. À côté de ces mécanismes de flexibilité, le Protocole prévoit aussi d’autres formes de flexibilité de type géographique, le système des "bulles", par lequel plusieurs pays peuvent s’associer afin de distribuer entre eux les réductions imposées par le protocole de Kyoto. Il existe une "bulle" européenne regroupant tous les pays de l’UE qui se sont fixé pour objectif, pour 2008-2012, de réduire de 8% leurs émissions par rapport à 1990.
Notons que ce marché ne porte que sur la réduction des émissions de CO2 et ne prend en compte aucune des autres causes d’"effet de serre".
Les États signataires du traité de Rio se réunissent à intervalles réguliers dans des Conférences des Parties (CDP - Conference of Parties - COP), à la fois organes institutionnels et forums de discussion et de négociation. La quinzième COP a eu lieu à Copenhague du 7 au 18 décembre 2009 afin de débattre de la suite à donner au protocole de Kyoto après 2012, à l’expiration de la première période d’engagement. La recherche d’un accord mondial sur les mesures à adopter n’a pas abouti et les négociations doivent être poursuivies dans les prochains COP.

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Protocolo que desarrolla la Convención Marco de las Naciones Unidas sobre el Cambio Climático (CMCC) y que contiene compromisos legales vinculantes adicionales a ésta. Las Partes incluidas en el Anexo I del Protocolo acordaron la reducción de sus emisiones antropogénicas de gases de efecto invernadero (dióxido de carbono, metano, óxido nitroso, hidrofluorocarbonos, perfluorocarbonos, y hexafluoruro de azufre) en al menos un 5,2% por debajo de los niveles de 1990 durante el período de compromiso (2008-2012). El Protocolo de Kioto se aprobó en 1997 y entró en vigor el 16 de febrero de 2005.

l

Land-use planning

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The process undertaken by public authorities to identify, evaluate and decide on different options for the use of land, including consideration of long term economic, social and environmental objectives and the implications for different communities and interest groups, and the subsequent formulation and promulgation of plans that describe the permitted or acceptable uses.
Comment: Land-use planning is an important contributor to sustainable development. It involves studies and mapping; analysis of economic, environmental and hazard data; formulation of alternative land-use decisions; and design of long-range plans for different geographical and administrative scales. Land-use planning can help to mitigate disasters and reduce risks by discouraging settlements and construction of key installations in hazard-prone areas, including consideration of service routes for transport, power, water, sewage and other critical facilities.

m

Materiales ecológicos

MILIA

SOURCE:Portal MILIARIUM.com - Ingeniería Civil y Medio Ambiente- (contiene glosario técnico de arquitectura sostenible) (Spain)

La mayor parte de los edificios están construido con materiales que respectan muy poco o nada el medio ambiente. Materiales altamente tóxicos, en cuanto a su fabricación y combustión como el PVC o el Amianto. Otros materiales proceden de las pinturas y barnices que son productos derivados del petróleo y en cuyo origen se incluyen elementos volátiles tóxicos como el xileno, cetonas, toluenos, etc. Son materiales que requieren un alto consumo de combustibles fósiles para su producción, que además de ser cada vez más escasos y costosos, aumentan la contaminación porque en su combustión emiten grandes volúmenes de gases nocivos contaminantes.
Pero frente a este tipo de materiales existen alternativas, que pueden parecer más cara, pero cuyo uso a largo plazo resulta más rentable porque proporcionan un importante ahorro energético, con lo que se obtiene en la construcción de viviendas mayor calidad, y una calidad respetuosa con el medio ambiente.
Este tipo de materiales, no son más que aquellos que la propia naturaleza proporciona y que se han venido utilizando en la construcción de viviendas durante miles de años: madera, barro, corcho, mármol, etc, y a los que se les pueden añadir nuevos materiales para lograr una utilización ecológica de los mismos: termoarcilla, sudorita, geotextiles, bioblock, celenit, cables afumex, arlita, heraklith, pinturas biofa.
También se elaboran materiales ecológicos a partir de escombros y de residuos sólidos industriales, que sustituyen el consumo creciente de materias primas, escasas o ubicadas en sitios distantes, reduciendo el incremento de costos y resultando más económicos que los materiales tradicionales de construcción. Podemos citar como ejemplo los sistemas de ahorro de agua y autoabastecimiento con energía solar y/o eólica.
No obstante, de poco sirve utilizar materiales ecológicos si los edificios no están bien diseñados, fallando por ejemplo la orientación y necesitan para calentarse una gran gasto energético y si este se hace a base de combustibles fósiles emitiendo diariamente grandes cantidades de CO2.

Mecanismo de Aplicación Conjunta (AC)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Mecanismo contemplado en el Protocolo de Kioto para el desarrollo de proyectos, en países desarrollados o con economías en transición, que generen un ahorro de emisiones adicional al que se hubiera producido en el supuesto de haber empleado tecnologías convencionales o no haber incentivado la capacidad de absorción de las masas forestales.

Mecanismo de flexibilidad

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Instrumentos previstos por el Protocolo de Kioto que persiguen un doble objetivo: facilitar a los países desarrollados y a las economías en transición el cumplimiento de sus compromisos de reducción de emisiones y apoyar el crecimiento sostenible en los países en desarrollo a través de la transferencia de tecnologías limpias. Hay tres tipos de mecanismos de flexibilidad: Aplicación Conjunta, Desarrollo Limpio y Comercio de Derechos de Emisión.

Mecanismo para un Desarrollo Limpio (MDL)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Mecanismo contemplado en el Protocolo de Kioto que permite ejecutar proyectos de reducción de emisiones de gases de efecto invernadero en los países que, siendo signatarios de dicho Protocolo, no tienen asignados objetivos de reducción de emisiones en virtud de ese Protocolo.

Meilleure pratique (Best practice)

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Approche innovatrice qui a été expérimentée et évaluée positivement. C’est une expression très en vogue dans le monde anglo-saxon où il est défini tout simplement comme une chose qui fonctionne. La mise en œuvre des engagements internationaux passe par la généralisation des meilleures pratiques identifiées. Ce qui implique des systèmes d’évaluation permettant la comparaison et organisant des mécanismes de transfert. La diffusion de ces meilleures pratiques est conditionnée par les capacités de gouvernance des "imitateurs", par leurs contextes financiers, par leurs compétences scientifiques et techniques. Aussi, certains préfèrent se limiter au qualificatif de "bonnes" pratiques, car il n’y aurait pas de "meilleures" pratiques dans l’absolu. On peut aussi considérer qu’il est plus facile d’identifier les mauvaises pratiques que les meilleures.

Metabolismo urbano

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Ciclo completo que incluye todo el proceso -desde el abastecimiento a la producción y gestión de residuos (pasando por su transformación en bienes y servicios)- de los materiales, la energía y los recursos naturales necesarios para mantener la dinámica y actividad económica de una ciudad. Su análisis permite cuantificar todos los flujos de energía, materiales, recursos naturales y residuos que entran y salen de una región urbana.

Microclima

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Clima local en la superficie de la Tierra o en sus inmediaciones. Véase también Clima.

Mitigation / Mitigación

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Conjunto de políticas sociales, económicas y tecnológicas dirigidas a reducir las emisiones de gases de efecto invernadero y mejorar los sumideros.

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The lessening or limitation of the adverse impacts of hazards and related disasters.
Comment: The adverse impacts of hazards often cannot be prevented fully, but their scale or severity can be substantially lessened by various strategies and actions. Mitigation measures encompass engineering
techniques and hazard-resistant construction as well as improved environmental policies and public awareness. It should be noted that in climate change policy, “mitigation” is defined differently, being the term used for the reduction of greenhouse gas emissions that are the source of climate change.

Modèle climatique

FUT

SOURCE:Magazine : Futura environnement . par Futura-Sciences - Environnement / Dictionnaire. (France)

Un modèle climatique est la représentation numérique de la planète et des interactions entre ses différents réservoirs qui modulent le climat : l’atmosphère, l’océan et les surfaces continentales.
L’espace géographique numérique est composé de cases, appelées les mailles. Les interactions entre mailles sont modélisées par un certain nombre d’équations mathématiques. Plus la maille est petite, plus le modèle est précis et donc plus il est fiable. Un modèle climatique cherche à approcher le plus possible la réalité, il essaie de représenter au mieux les forces qui induisent les mouvements atmosphériques, océaniques ou terrestres. Pour cela, le modèle part de conditions initiales connues des paramètres climatiques tels que la température, le rayonnement, l’humidité… et les fait évoluer en suivant le formalisme mathématique.

Modernización ecológica

ECO

SOURCE:Ecoestrategia.com - Foro Económico ambiental- Glosario de Términos ambientales (Spain)

Doctrina y práctica que aboga por la implantación de nuevas tecnologías respetuosas con el medio ambiente en procesos de modernización de economías tercermundistas, o de reequipamientos tecnológicos de los países ricos.

Movilidad sostenible

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Conjunto de procesos y acciones orientados a conseguir un uso racional de los medios de transporte tanto por parte de los particulares como de las empresas y administraciones públicas.

Movilidad urbana

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Conjunto de características y patrones que presentan los desplazamientos de la población y las mercancías en un determinado área urbana, desde el punto de vista espacial, cuantitativo y cualitativo.

n

National platform for disaster risk reduction

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A generic term for national mechanisms for coordination and policy guidance on disaster risk reduction that are multi-sectoral and inter-disciplinary in nature, with public, private and civil society participation involving all concerned entities within a country.
Comment: This definition is derived from footnote 10 of the Hyogo Framework. Disaster risk reduction requires the knowledge, capacities and inputs of a wide range of sectors and organisations, including United Nations agencies present at the national level, as appropriate. Most sectors are affected directly or indirectly by disasters and many have specific responsibilities that impinge upon disaster risks. National platforms provide a means to enhance national action to reduce disaster risks, and they represent the national mechanism for the International Strategy for Disaster Reduction.

Natural hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Natural process or phenomenon that may cause loss of life, injury or other health impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or environmental damage.
Comment: Natural hazards are a sub-set of all hazards. The term is used to describe actual hazard events as well as the latent hazard conditions that may give rise to future events. Natural hazard events can be
characterized by their magnitude or intensity, speed of onset, duration, and area of extent. For example, earthquakes have short durations and usually affect a relatively small region, whereas droughts are slow to
develop and fade away and often affect large regions. In some cases hazards may be coupled, as in the flood caused by a hurricane or the tsunami that is created by an earthquake.

Négociation et jeux d’acteurs

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Une négociation est un processus volontaire visant à résoudre une situation de désaccord ou de conflit, ou, tout simplement, un problème collectif. Elle est destinée à rapprocher des perceptions, des intérêts et des points de vue différents, entre les parties impliquées. La négociation peut se jouer de différentes manières et à différents niveaux d’échelle du local au global. Les problématiques du développement durable sont tout particulièrement propices à discuter et à mettre en scène des jeux d’acteurs, à proposer des simulations de négociation.
Parmi les stratégies que les acteurs impliqués mettent en œuvre notons :
• La stratégie du gagnant-gagnant (win-win). Il s’agit d’une situation dans laquelle ils essaient de négocier des résultats mutuellement positifs en recherchant des solutions innovantes. Sous de telles conditions de négociation, les acteurs essaient d’accroître la taille du gâteau qu’ils cherchent à se partager. La négociation est alors perçue comme un jeu à somme positive. Les conditions de négociation sont coopératives et les acteurs en présence se considèrent comme des partenaires. Les stratégies peuvent être à simple, double ou triple dividende. Une stratégie de développement durable doit être à "triple dividende", c’est-à-dire qu’elle doit apporter un progrès dans les domaines économique, environnemental et social.
• La stratégie "sans regret" peut consister à cibler les politiques sur des secteurs dans lesquels des améliorations de l’emploi et de l’environnement peuvent être obtenues simultanément. Ce type de stratégie revient à promouvoir des politiques utiles pour différents futurs possibles, même très contrastés, et qui seront utiles "en tout état de cause". Par exemple, des politiques de réduction des GES intéressantes (meilleures efficacités énergétiques) même s’il n’y a pas de réchauffement climatique global dans l’avenir.

o

Ozono (O3)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

El ozono, forma triatómica del oxígeno, es un componente gaseoso de la atmósfera que en la troposfera se crea de manera natural y también como consecuencia de reacciones fotoquímicas en las que intervienen gases resultantes de actividades humanas. El ozono troposférico se comporta como un gas de efecto invernadero. En la estratosfera, el ozono se crea por efecto de la interacción entre la radiación solar ultravioleta y el oxígeno molecular (O2), desempeñando un papel fundamental en el equilibrio de la estratosfera. Su concentración más alta se encuentra en la denominada capa de ozono.

p

Performance énergétique du bâtiment

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Quantité d’énergie effectivement consommée ou estimée pour répondre aux différents besoins liés à une utilisation standardisée du bâtiment. Cela peut inclure, entre autres, le chauffage, l’eau chaude, le système de refroidissement, la ventilation... Selon le niveau de performance énergétique atteint, on peut parler de bâtiment à basse consommation (index de performance énergétique autour de 50 kWh/m2), de bâtiment passif (qui consomme moins de 15 kWh/m2/an pour le chauffage, et moins de 120 kWh/m2/an au total), de bâtiment à énergie positive (qui produit plus d’énergie qu’il ne consomme).

Plan climat

ADEME

SOURCE:Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (France)

Programme d’actions du gouvernement français élaboré en 2004, et actualisé en 2006, destiné à réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de respecter, et même de dépasser, l’objectif français défini par le Protocole de Kyoto de stabiliser les émissions par rapport à 1990 sur la période 2008-2012.

Plan de acción ambiental

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Estrategia de acción inspirada en principios de sostenibilidad y basada en diagnosis de la situación de partida, de modo que se establezcan las metas y objetivos a alcanzar y se definan las actuaciones necesarias para su consecución.
(Tomado del Glosario de Sostenibilidad Urbana. Biblioteca CF+S: Ciudades para un Futuro más Sostenible. Véase http://habitat.aq.upm.es/)

Planificación urbana

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Conjunto de prácticas (especialmente de proyectos) por el que se establece un modelo de ordenación para un ámbito espacial que generalmente se refiere a un municipio, a un área urbana o a una zona de escala de barrio.

Planificación verde

OTPV

SOURCE:Oficina Técnica Plan Verde / Ayuntamiento Valencia - La Planificación Verde en las Ciudades /Pedro Salvador Palomo (Spain)

Se denominan así a las nuevas formas de actuar en la ciudad para afrontar los también nuevos desafíos y problemas económicos, sociales y ambientales a los que tienen que hacer frente. Se caracterizan por su enfoque particularizado orientado a la resolución de problemas concretos, partiendo de un conocimiento específico de las peculiaridades de cada sitio, pero con un planteamiento global de los problemas y de las actuaciones, integrando las actuaciones sectoriales: infraestructuras, vivienda, educación, medio ambiente, empleo.
Se denominan así a las nuevas formas de actuar en la ciudad para afrontar los también nuevos desafíos y problemas económicos, sociales y ambientales a los que tienen que hacer frente. Se caracterizan por su enfoque particularizado orientado a la resolución de problemas concretos, partiendo de un conocimiento específico de las peculiaridades de cada sitio, pero con un planteamiento global de los problemas y de las actuaciones, integrando las actuaciones sectoriales: infraestructuras, vivienda, educación, medio ambiente, empleo.

Potencial de calentamiento global

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Este valor, diferente para cada uno de los gases de efecto invernadero, indica la capacidad de contribución al calentamiento global de un determinado gas de efecto invernadero, en comparación con una cantidad similar de CO2. Los valores más aceptados son los aportados por el IPCC en sus sucesivos informes de evaluación y que consideran un horizonte temporal de 100 años.

Prácticas (Buenas)

DGV

SOURCE:Dirección General de Vivienda/Ministerio de Fomento (España). Las Políticas para la Ciudad Sostenible y Solidaria: Las Buenas Practicas. Marta Garcia Nart. Documentación Social 119 (2000) (Spain)

Se denominan así a las nuevas formas de actuar en la ciudad para afrontar los también nuevos desafíos y problemas económicos, sociales y ambientales a los que tienen que hacer frente. Se caracterizan por su enfoque particularizado orientado a la resolución de problemas concretos, partiendo de un conocimiento específico de las peculiaridades de cada sitio, pero con un planteamiento global de los problemas y de las actuaciones, integrando las actuaciones sectoriales: infraestructuras, vivienda, educación, medio ambiente, empleo.

Predicción climática (o pronóstico climático)

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Es el resultado de un intento de estimar la evolución real del clima en el futuro, por ejemplo a escalas de tiempo estacionales, interanuales o más prolongadas.

Preparedness

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The knowledge and capacities developed by governments, professional response and recovery organizations, communities and individuals to effectively anticipate, respond to, and recover from, the impacts of
likely, imminent or current hazard events or conditions.
Comment: Preparedness action is carried out within the context of disaster risk management and aims to build the capacities needed to efficiently manage all types of emergencies and achieve orderly transitions from response through to sustained recovery. Preparedness is based on a sound analysis of disaster risks and good linkages with early warning systems, and includes such activities as contingency planning, stockpiling of equipment and supplies, the development of arrangements for coordination, evacuation and public information, and associated training and field exercises. These must be supported by formal institutional, legal and budgetary capacities. The related term “readiness” describes the ability to quickly and appropriately respond when required.

Prevention

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The outright avoidance of adverse impacts of hazards and related disasters.
Comment: Prevention (i.e. disaster prevention) expresses the concept and intention to completely avoid potential adverse impacts through action taken in advance. Examples include dams or embankments that eliminate flood risks, land-use regulations that do not permit any settlement in high risk zones, and seismic engineering designs that ensure the survival and function of a critical building in any likely earthquake. Very often the complete avoidance of losses is not feasible and the task transforms to that of mitigation. Partly for this reason, the terms prevention and mitigation are sometimes used interchangeably in casual use.

Programa de Ciudades Sostenibles (PCS)

PNP

SOURCE:PNP PRABRISAS- REAL ESTATE - Media Responsable (Libro pdf España) - El Glosario de la Sostenibilidad (Spain)

Se trata del Programa de Ciudades Sustentables (PCS), que tiene por objeto poner en práctica las ‘Directrices Medio Ambientales para la Planificación y la Gestión de los Asentamientos Hu¬manos’, elaboradas por el Programa de Naciones Unidas para el Medio Ambiente y el Centro de Naciones Unidas para los Asentamientos Humanos, creando la capacidad local, nacional y regional para la planificación y la gestión urbanas. Ofrece una tribuna en la que todos los actores urbanos pueden hacer oír su voz, y un cauce para movilizar y asignar los recursos locales para alcanzar un desarrollo sostenible justo.

Prospective disaster risk management

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Management activities that address and seek to avoid the development of new or increased disaster risks.
Comment: This concept focuses on addressing risks that may develop in future if risk reduction policies are not put in place, rather than on the risks that are already present and which can be managed and reduced now. See also Corrective disaster risk management.

Public awareness

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The extent of common knowledge about disaster risks, the factors that lead to disasters and the actions that can be taken individually and collectively to reduce exposure and vulnerability to hazards.
Comment: Public awareness is a key factor in effective disaster risk reduction. Its development is pursued, for example, through the development and dissemination of information through media and educational
channels, the establishment of information centres, networks, and community or participation actions, and advocacy by senior public officials and community leaders.

r

Recovery

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The restoration, and improvement where appropriate, of facilities, livelihoods and living conditions of disaster-affected communities, including efforts to reduce disaster risk factors.
Comment: The recovery task of rehabilitation and reconstruction begins soon after the emergency phase has ended, and should be based on pre-existing strategies and policies that facilitate clear institutional responsibilities for recovery action and enable public participation. Recovery programmes, coupled with the heightened public awareness and engagement after a disaster, afford a valuable opportunity to develop and implement disaster risk reduction measures and to apply the “build back better” principle.

Recursos naturales

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Factores de producción que proporciona la naturaleza en forma de materias primas, combustibles fósiles, bosques, pesquerías, agua limpia, paisaje, etc.

Reducción del riesgo de desastres

NU1

SOURCE:Naciones Unidas, Manuel para líderes locales de los gobiernos locales. Una construcción a la campaña mundial 2010-2015 – Desarrollando ciudades resilientes – mi ciudad se está preparando. (International)

es el concepto y la práctica de reducir el riesgo de desastres mediante esfuerzos sistemáticos dirigidos al análisis y a la gestión de los factores causales de los desastres, lo que incluye la reducción del grado de exposición a las amenazas, la reducción de la vulnerabilidad de la población y la propiedad, uan gestión sensata de los suelos y del medio ambiente y el mejoramiento de la preparación ante los eventos adversos.(de conformidad con la política mundial establecida en el Marco de Acción de Hyogo 2005-2015: Aumento de la Resiliencia de las Naciones y Comunidades ante los Desastres).

Rehabilitación urbana integrada

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Proceso de intervención regenerativa en los tejidos urbanos, en el cual se actúa de forma articulada y planificada (no puntual o dispersamente) sobre un área concreta en la que se aplica un conjunto o batería de programas coordinados (horizontal y verticalmente) mediante los cuales se interviene no sólo desde punto de vista físico (sobre las viviendas, los edificios, el espacio público, el viario, los equipamientos, etc.) o ambiental, sino también desde la perspectiva económica y social (planes de empleo, formación, programas sociales, integración de inmigrantes, asistencia, etc.).

Reserva de naturaleza

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

Una reserva local de naturaleza urbana es un espacio situado en el contexto de la ciudad, que mantiene ciertos valores naturales y se gestiona según estos valores y sus potencialidades, restaurando los hábitats, preservando las especies y maximizando el beneficio social. Estas áreas contienen ejemplos del reino mineral, la flora, la fauna y el paisaje locales, y a menudo también tienen un interés para la historia de la ciudad. La existencia de una red de reservas coordinadas y gestionadas con criterios comunes dentro de la misma ciudad pone en valor el patrimonio natural, ofrece oportunidades de educación ambiental, facilita el contacto de los ciudadanos con la naturaleza y mejora la calidad de vida de las personas.

Residual risk

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The risk that remains in unmanaged form, even when effective disaster risk reduction measures are in place, and for which emergency response and recovery capacities must be maintained.
Comment: The presence of residual risk implies a continuing need to develop and support effective capacities for emergency services, preparedness, response and recovery together with socio-economic policies such as safety nets and risk transfer mechanisms.

Résilience / Resilience / Resiliencia

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The ability of a system, community or society exposed to hazards to resist, absorb, accommodate to and recover from the effects of a hazard in a timely and efficient manner, including through the preservation and
restoration of its essential basic structures and functions.
Comment: Resilience means the ability to “resile from” or “spring back from” a shock. The resilience of a community in respect to potential hazard events is determined by the degree to which the community has
the necessary resources and is capable of organizing itself both prior to and during times of need.

NU1

SOURCE:Naciones Unidas, Manuel para líderes locales de los gobiernos locales. Una construcción a la campaña mundial 2010-2015 – Desarrollando ciudades resilientes – mi ciudad se está preparando. (International)

es la capacidad de un sistema, comunidad o sociedad expuestos a una amenaza para resistir, absorber, adaptarse y recuperarse de sus efectos de manera oportuna y eficaz, lo que incluye la preservación y la restauración de sus estructuras y funciones básicas.(UNISDR). La resiliencia prioriza invertir en el aumento de las capacidades globales de una zona de la ciudad para sustentar una sociedad y economía saludables y dinámicas bajo cualquier circunstancia (ICLEI).

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Les origines de la notion sont principalement liées à la physique, à la psychologie et à l’écologie. Quel que soit son champ d’application, la notion est née de l’analyse systémique. Pour les écologues, la résilience exprime, d’une part, la capacité de récupération ou de régénération d’un organisme ou d’une population, et, d’autre part, l’aptitude d’un écosystème à se reconstituer à la suite d’une perturbation (la reconstitution d’une forêt après un incendie, par exemple).
Dans le cadre de l’analyse socio-spatiale, la résilience désigne la capacité d’un système à assimiler, voire à tirer profit, d’une perturbation extérieure. Dans ce cas, il s’agit de capacités d’adaptation, plus que de retour à un état initial, telles qu’elles permettront au système socio-spatial de fonctionner après un désastre, en présence d’un stress continu ou plus couramment d’une bifurcation géopolitique, économique, environnementale.
La notion de résilience ne fait toutefois pas consensus. Promue depuis le début de ce siècle par les institutions internationales, comme l’UNISDR (United Nations International Strategy for Disaster Reduction) ou la Banque mondiale. la notion est contestée par nombre de chercheurs, qui peuvent y voir des tentatives de manipulation idéologique d’inspiration néolibérale.
L’UNISDR définit la résilience comme « la capacité d’un système, une communauté ou une société exposée aux risques, de résister, d’absorber, d’accueillir et de corriger les effets d’un danger (...), notamment par la préservation et la restauration de ses structures essentielles et de ses fonctions de base ». Dans cette définition, la résilience reconnaît les limites de la résistance, et essaie de les dépasser. La résistance cherche, par des travaux de correction, comme un paravalanche ou une digue, « à s’opposer à l’aléa », tandis que la résilience « vise à en réduire au maximum les impacts ». La résistance prétend éliminer les risques en éliminant les aléas, la résilience admet que ce n’est pas possible. On doit vivre avec l’impossibilité d’éliminer les dommages, tout en essayant de les limiter. De ce fait, la résilience reconnaît que le dommage n’est plus lié à une relation entre deux facteurs, comme entre aléa et vulnérabilité, mais à un ensemble de facteurs en interaction, à un système.

Les chercheurs de Resilience Alliance définissent, quant à eux, la résilience comme la capacité des systèmes à conserver leurs structures fondamentales en cas de perturbation.

Response

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The provision of emergency services and public assistance during or immediately after a disaster in order to save lives, reduce health impacts, ensure public safety and meet the basic subsistence needs of the people
affected.
Comment: Disaster response is predominantly focused on immediate and short-term needs and is sometimes called “disaster relief”. The division between this response stage and the subsequent recovery stage is not clear-cut. Some response actions, such as the supply of temporary housing and water supplies, may extend well into the recovery stage.

Reutilizar

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Acción de volver a utilizar bienes o productos que han adquirido la condición de residuos para el mismo fin para el que fueron creados.

Riesgo climático

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Combinación de la probabilidad de que ocurra un determinado impacto del cambio climático y la magnitud del mismo.

Risk / Risque

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Il ne faut pas confondre aléa, risque et vulnérabilité. L’aléa est un phénomène (naturel, technologique) plus ou moins probable sur un espace donné. La vulnérabilité exprime le niveau d’effet prévisible de ce phénomène sur des enjeux (l’homme et ses activités). Le risque (risk en anglais) peut être défini comme la probabilité d’occurrence de dommage compte tenu des interactions entre facteurs d’endommagement (aléas) et facteurs de vulnérabilité (peuplement, répartition des biens). Certains résument ainsi ces définitions par une formule : "risque = aléa x vulnérabilité". La notion de risque recouvre à la fois le danger potentiel de catastrophe et la perception qu’en a la société, l’endommagement potentiel, comme celle de l’endommagement effectif. Un risque peut être d’origine naturelle ou peut avoir des causes purement anthropiques (risques technologiques, risques géopolitiques par exemple).

Les risques "naturels" se rapportent à des aléas qui font intervenir des processus naturels variés : atmosphériques, hydrologiques, géologiques ou géomorphologiques. Le risque naturel se situe à la croisée entre, d’une part, un ou plusieurs aléas, et, d’autre part, la vulnérabilité d’une société et/ou d’un territoire qu’elle occupe. L’aléa ne devient un risque qu’en présence d’enjeux humains, économiques et environnementaux. Par exemple : un typhon sur un atoll désert de l’océan Pacifique n’est pas un risque, mais un cyclone sur les îles densément habitées des Caraïbes devient un risque majeur et provoque des dommages considérables. La question des risques naturels permet ainsi de revisiter un vieux paradigme de la géographie, celui des rapports entre la société et la nature.

Le risque, d’origine naturelle ou technologique, est dit majeur lorsqu’il peut faire de très nombreuses victimes et occasionner des dommages considérables, dépassant les capacités de réaction des instances concernées (États, sociétés civiles), à l’échelle de la zone touchée. Le risque majeur est caractérisé conjointement par une faible probabilité d’occurrence (faible fréquence) et d’énormes impacts, il peut alors devenir une catastrophe perturbant durablement les équilibres naturels et sociaux à divers niveaux d’échelle. Les conséquences, pour la population, sont dans tous les cas tragiques en raison du déséquilibre brutal entre besoins et moyens de secours disponibles.

Le risque s’entend également au sens de la prise de risque. Il est au cœur des problématiques du principe de précaution et de la gestion de l’incertitude. On peut distinguer le risque – situation pour laquelle une liste de toutes les éventualités et de leur probabilité de réalisation peut être établie – de l’incertitude, situation pour laquelle l’une ou l’autre de ces deux conditions n’est pas vérifiée.
L’incertitude exprime le degré avec lequel une valeur (l’état futur du système climatique, par exemple) est inconnue. L’incertitude peut être due à un manque d’informations ou à un désaccord sur ce qui est connu, voire sur ce qui peut être connu. Elle peut avoir des origines diverses : erreurs quantifiables au niveau des données ; concepts ou terminologie aux définitions ambiguës ; prévisions/projections du comportement humain difficiles à anticiper. L’incertitude peut donc être représentée par des mesures quantitatives (une fourchette de valeurs calculées par divers modèles, par exemple) ou par des énoncés qualitatifs (reflétant l’opinion d’un groupe d’experts).
Le niveau des risques "naturels" pourrait se voir amplifié par les impacts des évolutions climatiques, aggravées par la croissance démographique mondiale et par la pression sur les ressources. Des communautés entières sont d’ores et déjà chassées, provisoirement ou définitivement, de leur habitat par différentes crises environnementales parfois meurtrières : sécheresses, inondations, séismes, etc. Or, dans le droit juridique international, aucune protection ne s’applique aux victimes de catastrophes naturelles qui ne peuvent prétendre au statut de réfugié et qui, le plus souvent, sont déplacées à l’intérieur de leur propre pays.

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The combination of the probability of an event and its negative consequences.
Comment: This definition closely follows the definition of the ISO/IEC Guide 73. The word “risk” has two distinctive connotations: in popular usage the emphasis is usually placed on the concept of chance or possibility, such as in “the risk of an accident”; whereas in technical settings the emphasis is usually placed on the consequences, in terms of “potential losses” for some particular cause, place and period. It can be
noted that people do not necessarily share the same perceptions of the significance and underlying causes of different risks.
See other risk-related terms in the Terminology: Acceptable risk; Corrective disaster risk management; Disaster risk; Disaster risk management; Disaster risk reduction; Disaster risk reduction plans; Extensive risk; Intensive risk; Prospective disaster risk management; Residual risk; Risk assessment; Risk management; Risk transfer.

Risk assessment

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A methodology to determine the nature and extent of risk by analysing potential hazards and evaluating existing conditions of vulnerability that together could potentially harm exposed people, property, services,
livelihoods and the environment on which they depend.
Comment: Risk assessments (and associated risk mapping) include: a review of the technical characteristics of hazards such as their location, intensity, frequency and probability; the analysis of exposure and vulnerability including the physical social, health, economic and environmental dimensions; and the evaluation of the effectiveness of prevailing and alternative coping capacities in respect to likely risk scenarios. This series of activities is sometimes known as a risk analysis process.

Risk management

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The systematic approach and practice of managing uncertainty to minimize potential harm and loss.
Comment: Risk management comprises risk assessment and analysis, and the implementation of strategies and specific actions to control, reduce and transfer risks. It is widely practiced by organizations to minimise risk in investment decisions and to address operational risks such as those of business disruption, production failure, environmental damage, social impacts and damage from fire and natural hazards. Risk management is a core issue for sectors such as water supply, energy and agriculture whose production is directly affected by extremes of weather and climate.

Risk transfer

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The process of formally or informally shifting the financial consequences of particular risks from one party to another whereby a household, community, enterprise or state authority will obtain resources from the other
party after a disaster occurs, in exchange for ongoing or compensatory social or financial benefits provided to that other party.
Comment: Insurance is a well-known form of risk transfer, where coverage of a risk is obtained from an insurer in exchange for ongoing premiums paid to the insurer. Risk transfer can occur informally within family
and community networks where there are reciprocal expectations of mutual aid by means of gifts or credit, as well as formally where governments, insurers, multi-lateral banks and other large risk-bearing entities establish mechanisms to help cope with losses in major events. Such mechanisms include insurance and re-insurance contracts, catastrophe bonds, contingent credit facilities and reserve funds, where the costs are
covered by premiums, investor contributions, interest rates and past savings, respectively.

s

Sistema

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Conjunto formado por diferentes elementos, relacionados, conectados y articulados entre sí.

Soberania alimentaria

ABN

SOURCE:Ayuntamiento de Barcelona - Documento "Compromiso Ciudadano por la Sostenibilidad 2012-2020. Por una Barcelona más equitativa, próspera y autosudiciente", Diciembre del 2012.

El concepto de soberanía alimentaria fue promovido por el movimiento internacional campesino La Vía Campesina (Roma, 1996). Se define como el derecho de los pueblos a determinar las políticas agrícolas y alimentarias que los afectan: a tener derecho y acceso a la tierra, a los recursos naturales y a la alimentación sana y saludable, así como a proteger y regular la producción y el comercio interior con el objetivo de conseguir un desarrollo sostenible y garantizar la seguridad alimentaria.

Socio-natural hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The phenomenon of increased occurrence of certain geophysical and hydrometeorological hazard events, such as landslides, flooding, land subsidence and drought, that arise from the interaction of natural hazards
with overexploited or degraded land and environmental resources.
Comment: This term is used for the circumstances where human activity is increasing the occurrence of certain hazards beyond their natural probabilities. Evidence points to a growing disaster burden from such hazards. Socio-natural hazards can be reduced and avoided through wise management of land and environmental resources.

Structural and non-structural measures

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Structural measures: Any physical construction to reduce or avoid possible impacts of hazards, or application of engineering techniques to achieve hazardresistance and resilience in structures or systems; Non-structural measures: Any measure not involving physical construction that uses knowledge, practice or agreement to reduce risks and impacts, in particular through policies and laws, public awareness raising,
training and education.
Comment: Common structural measures for disaster risk reduction include dams, flood levies, ocean wave barriers, earthquake-resistant construction, and evacuation shelters. Common non-structural measures include building codes, land use planning laws and their enforcement, research and assessment, information resources, and public awareness programmes. Note that in civil and structural engineering, the term “structural” is used in a more restricted sense to mean just the load-bearing structure, with other parts such as wall cladding and interior fittings being termed non-structural.

Sustainable development / Sostenibilidad

EESUL

SOURCE:Ministerio de Medio Ambiente y Medio Rural / Ministerio de Fomento. Estrategia Española de Sostenibilidad Urbana y Local (EESUL) 20011. Pdf. Eesul-290311 (Libro, glosario) (Spain)

Relación entre los sistemas económicos humanos y los sistemas ecológicos en la que la vida humana puede continuar indefinidamente, los individuos prosperar, y las culturas humanas desarrollarse; pero en la que los efectos de las actividades humanas permanecen dentro de unos límites, de manera que no destruyan la diversidad, la complejidad y la función de los sistemas ecológicos soporte de la vida.
(Tomado del Glosario de Sostenibilidad Urbana. Biblioteca CF+S: Ciudades para un Futuro más Sostenible. Véase http://habitat.aq.upm.es/).

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

Development that meets the needs of the present without compromising the ability of future generations to meet their own needs.
Comment: This definition coined by the 1987 Brundtland Commission is very succinct but it leaves unanswered many questions regarding the meaning of the word development and the social, economic and environmental processes involved. Disaster risk is associated with unsustainable elements of development such as environmental degradation, while conversely disaster risk reduction can contribute to the achievement of sustainable development, through reduced losses and improved development practices.

t

Technological hazard

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

A hazard originating from technological or industrial conditions, including accidents, dangerous procedures, infrastructure failures or specific human activities, that may cause loss of life, injury, illness or other health
impacts, property damage, loss of livelihoods and services, social and economic disruption, or environmental damage.
Comment: Examples of technological hazards include industrial pollution, nuclear radiation, toxic wastes, dam failures, transport accidents, factory explosions, fires, and chemical spills. Technological hazards also
may arise directly as a result of the impacts of a natural hazard event.

Tejado verde

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Jardín sobre el tejado o cubierta de un edificio que puede incluir elementos de captación de energía renovable, recogida de aguas pluviales y cultivo de alimentos.

Trame verte et bleue

MEDF

SOURCE:Ministère de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie - Site Web. 2014. Bâtiment et Ville Durable. (France)

La Trame verte et bleue est un outil d’aménagement du territoire qui vise à (re)constituer un réseau écologique cohérent, à l’échelle du territoire national, pour permettre aux espèces animales et végétales, de circuler, de s’alimenter, de se reproduire, de se reposer... En d’autres termes, d’assurer leur survie, et permettre aux écosystèmes de continuer à rendre à l’homme leurs services.

FUT

SOURCE:Magazine : Futura environnement . par Futura-Sciences - Environnement / Dictionnaire. (France)

La trame verte et bleue est une mesure du Grenelle de l’environnement pour enrayer le déclin de la biodiversité. Cette mesure consiste à préserver et restaurer les continuités écologiques au sein d’un réseau fonctionnel, aussi bien terrestre (trame verte) qu’aquatique (trame bleue).
Cette trame est un outil d’aménagement du territoire qui doit assurer la communication écologique entre les grands ensembles naturels au travers de trois approches :
• des zones tampons ;
• des corridors écologiques ;
• la restauration de la nature en ville.
Cette connectivité doit se faire à tous les niveaux, depuis les berges d’une rivière locale jusqu’aux grands couloirs de migration paneuropéens.
La trame verte et bleue doit se traduire par l’identification des grands enjeux territoriaux pour la biodiversité et le paysage, l’analyse des fonctionnements écologiques et la mise en place de mesures de lutte contre la fragmentation des habitats.
Dans le cadre de l’aménagement du territoire, la trame verte et bleue doit être intégrée dans :
• une cartographie régionale ;
• les différents documents et programmes d’urbanisme (schéma de cohérence territorial, PLU…) ;
• la concertation avec les pays limitrophes.

Trame verte urbaine

CYB

SOURCE:European journal of geography/ Revue europénne de géographie Environnement,Nature, Paysage. Art : trame verte : Teddy, et al.. (Journal)

Ces trames vertes constituent un outil d’aménagement du territoire comprenant des taches d’habitat et des corridors écologiques les reliant ou servant d’espaces tampons (voir par ex. le guide des trames COMOP 2009). Ces espaces de naturalité doivent permettre les flux d’espèces animales et végétales. Cette définition d’ordre écologique est une nouvelle conception de l’aménagement du territoire qui correspond à une prise en considération des attentes d’une société civile en matière écologique et de développement durable ; il s’agit notamment de sauvegarder et de favoriser la biodiversité, d’améliorer la qualité environnementale et sociale de ces lieux (Cormier, Carcaud, 2009 ; Cormier, De Lajartre, Carcaud, 2010). La question urbaine des trames vertes n’émane pas à proprement parler d’une communauté scientifique, mais intéresse de manière convergente plusieurs disciplines en sciences sociales et sciences biologiques, ainsi que des acteurs professionnels. Les trames vertes urbaines prennent leur sens par le développement de continuités naturelles au sein d’espaces urbains plus ou moins denses et leur évaluation met clairement à contribution les disciplines géographiques et sociales. En effet, même si les trames vertes urbaines correspondent à l’extension récente et politique des concepts de réseaux écologiques, cette notion implique à la fois, par ce contexte urbain éminemment social et par son échelle de planification, un ensemble de disciplines et d’acteurs très large. L’émergence d’une politique européenne concernant la formation d’un réseau écologique paneuropéen dans les années 1990, puis du texte de Loi du Grenelle 2 de l’environnement en France en 2010 sont les accélérateurs de ces objectifs d’une prise en compte de la nature dans la ville avec des prolongements dans les pratiques des collectivités locales.
Nous formulons l’hypothèse que les trames vertes pourraient procéder de l’évolution conjointe de l’écologie du paysage et de la géographie humaine. On observe également le développement d’études environnementales, géographiques et urbaines qui souhaitent répondre aux enjeux environnementaux associés à l’urbanisation. La réintroduction de la dimension naturelle dans l’environnement urbain via de nouvelles configurations spatiales paysagères jouent également dans les modes d’habiter urbain (Blanc, 2010). Les recherches en cours dans le programme « ANR Trame verte urbaine », qui a pour objectif principal de réaliser une évaluation et une élaboration de référentiels des trames vertes urbaines1, donnent ainsi une nouvelle consistance à la problématique des trames vertes urbaines en rapprochant esthétique (mêlant expérience esthétique et construction collective symbolique et matérielle de la ville) et écologie (nouvel espace support de la construction d’une biodiversité urbaine et de services écosystémiques) (Blanc, Clergeau, 2010). C’est dans ce cadre que nous avons examiné la véracité de notre hypothèse d’une base pluridisciplinaire de la notion de trame verte, en recherchant à travers une analyse des mots utilisés les émergences des questionnements, les analyses conduites et les objectifs affichés.

u

Urbanism

PCAL

SOURCE:Peter Calthorpe – Urbanism in the Age of Climate Change, 2011, Island Press

In this book, I define the term urbanism broadly – by qualities, not quantities; by diversity, not size; by intensity, not density; by connectivity, not just location.

Urbanismo ecológico

AECOB

SOURCE:Agencia de Ecología Urbana de Barcelona (Spain)

El urbanismo adquiere el calificativo de ecológico cuando pasa por el tamiz de un conjunto de restricciones (condicionantes e indicadores) que parametrizan el grado de acomodación de un determinado planeamiento, y también de un tejido consolidado, a un modelo intencionado de ciudad más sostenible en la era de la información.
A modo esquemático, el Urbanismo Ecológico aplica los siguientes principios:
• 01. Proximidad
• 02. Masa crítica de población y actividad
• 03. Ciudadano, no peatón
• 04. Transporte alternativo
• 05. Habitabilidad del espacio público
• 06. Complejidad urbana
• 07. Dotación de espacios verdes y biodiversidad
• 08. Autosuficiencia energética
• 09. Autosuficiencia hídrica
• 10. Autosuficiencia de los materiales
• 11. Adaptación y mitigación al cambio climático
• 12. Cohesión social
• 13. Acceso a la vivienda
• 14. Dotación de equipamientos
• 15. Gestión y gobernanza
INSTRUMENTOS DE ORDENACIÓN DEL URBANISMO ECOLÓGICO
El Urbanismo Ecológico posee dos instrumentos principales para ordenar el territorio: la Supermanzana y el urbanismo en tres niveles:
• La Supermanzana, una nueva célula urbana, viene definida por un área de aproximadamente 400x400 metros, por cuyo perímetro circula la motorización. Su interior, en el que se engloban varias manzanas, queda liberado del vehículo de paso y del transporte público. La velocidad se limita a un máximo de 10 Km/h, lo que permite el desarrollo de todos los usos y funciones del espacio público, sin restricciones.
• El urbanismo en tres niveles (altura, superficie y subterráneo) proyecta tres planos con el mismo detalle y la misma escala que los urbanistas proyectan el Plan Urbanístico en superficie, permitiendo redistribuir las funciones que actualmente se encuentran en superficie: las cubiertas están vinculadas a la biodiversidad, la energía y el agua. El subsuelo se vincula a los servicios, la distribución urbana, el aparcamiento, la movilidad masiva de pasajeros, al ciclo del agua y a la gestión de la energía. El suelo se relaciona con los usos, la funcionalidad y el espacio público.
LOS RESTRICTORES DEL URBANISMO ECOLÓGICO
El Urbanismo Ecológico incorpora dos restrictores principales: la eficiencia y la habitabilidad. Estos restrictores son condicionantes que se deben cumplir para que la ciudad, además de sostenible, sea agradable y atractiva para la ciudadanía que vive en ella.
• La eficiencia está relacionada con la capacidad del sistema urbano para, con una organización y actividad compleja, minimizar el consumo de recursos.
• La habitabilidad trata de aspectos ligados al confort e interacción de los ciudadanos: cohesión social, diversidad biológica, calidad del espacio público, residencia, equipamiento, etc.
APLICACIÓN DE LOS PRINCIPIOS DE EL URBANISMO ECOLÓGICO
Estos principios se traducen a la realidad de la siguiente manera:
• Usos urbanos: Se reserva un mínimo de la superficie edificada para ubicar personas jurídicas: actividades económicas, equipamientos, instituciones y asociaciones.
• Infraestructuras para la movilidad y los servicios: El viario se destina, en su mayor parte, a espacios que permiten el acceso a los residentes, a las emergencias, los servicios y la distribución urbana de mercancías, a una velocidad de 10km/h.
• Metabolismo urbano: La ciudad según el Urbanismo Ecológico será neutra en carbono y tendrá un alto porcentaje de autosuficiencia energética. Será también autosuficiente en recursos hídricos incluso en un escenario de escasez derivado del cambio climático. Se aplica recogida selectiva y la mayor parte de la fracción orgánica se utiliza para hacer compost.
• Energía: BCNecologia ha ideado un nuevo sistema térmico de alta eficiencia, basado en la transferencia de energía térmica excedentaria del verano hacia el invierno. Esta energía sobrante se almacena en grandes depósitos de agua enterrados, que mediante una bomba de calor aporta hasta el 100% en climatización y agua caliente sanitaria (ACS). Este sistema se llama SCACS (Sistema de Calefacción y Agua Caliente Sanitaria).
• Espacios verdes y biodiversidad: En el Urbanismo Ecológico, la ordenación del verde urbano se diseña para atraer avifauna, conseguir una ciudad más permeable a los elementos naturales y ofrecer espacios verdes de relación a la ciudanía.
CRITERIOS DE EVALUACIÓN DE LA PROPUESTA
• A1. Ocupación del suelo
• A2. Espacio público y habitabilidad
• A3. Movilidad y servicios
• A4. Complejidad urbana
• A5. Espacios verdes y biodiversidad
• A6. Metabolismo urbano
• A7. Cohesión social

Urbanistica

BSE

SOURCE:SECCHI, Bernardo, (2000). Prima lezione di urbanistica, Laterza, Roma-Bari.

L’urbanistica si occupa (…) delle trasformazioni del territorio, dei modi nei quali avvengono e sono avvenute, dei soggetti che le promuovono, delle loro intenzioni, delle tecniche che utilizzano, dei risultati che si attendono, degli esiti che ne conseguono, dei problemi che di volta in volta sollevano inducendo a nuove trasformazioni.

Urbanización sostenible

NU1

SOURCE:Naciones Unidas, Manuel para líderes locales de los gobiernos locales. Una construcción a la campaña mundial 2010-2015 – Desarrollando ciudades resilientes – mi ciudad se está preparando. (International)

es un proceso que promueve un enfoque integrado, sensible al tema de género y a favor de la gente con escasos recursos en los tres pilares del desarrollo sostenible: social, económico y ambiental. Se basa en procesos participativos de planificación y toma de decisiones y en una gobernanza inclusiva (ONU-HÁBITAT). Los principios de la urbanización sostenible implican:
• Tierras, infraestructura, servicios, movilidad y viviendas accesibles y a favor de personas con bajos recursos.
• Un desarrollo social inclusivo, basado en consideraciones de género, saludable y seguro.
• Un entorno ambiental seguro y eficiente en materia de carbono.
• Procesos de planificación y toma de decisiones participativos.
• Economías locales dinámicas y competitivas que promueven un trabajo y medios de subsistencia decentes.
• La garantía de no discriminación y derechos equitativos para la ciudad.
• La potenciación de las ciudades y las comunidades para que planifiquen y gestionen de forma eficaz la adversidad y el cambio y mejoren su resiliencia.

v

Verde urbano

VU

SOURCE:Universidad de Salamanca - Memoria de Alejandro Gomez Conçalvez - EL Verde Urbano de las Ciudades de Salamanca , Valladolid y Zamora : Delimitación , Localización y Utilización (Spain)

El verde urbano, entendido como el conjunto de zonas verdes de una ciudad, está compuesto en su mayor parte por espacios públicos cuya construcción y mantenimiento corren a cargo de las administraciones locales. No se trata de un elemento que surge espontáneamente en el interior del tejido urbano, sino que su presencia está determinada por la normativa urbanística y por el planeamiento.
Este concepto, con todas sus variantes (áreas verdes, jardines, espacios verdes, parques urbanos, zonas verdes...), es utilizado con mucha frecuencia en contextos sociales muy diversos, pero no existe una definición comúnmente aceptada. Cada una de ellas utiliza criterios distintos para seleccionar estos espacios.
Se identifica una base conceptual común en la literatura consultada, ya que por verde urbano se entiende, de forma general, aquel espacio abierto de la ciudad cuyo elemento característico es el desarrollo de cualquier tipo de vegetación. Algo más difuminado aparece el cumplimiento de diversas funciones, que sería otro rasgo
definitorio de estos espacios, y que justificaría su presencia en el interior del continuo urbano. Aparte de los aspectos citados, los puntos de encuentro entre los autores son más bien escasos al tratar el tema desde distintos campos científicos. Por lo tanto, las ideas que articulan la definición del concepto de verde urbano, atendiendo a las definiciones consultadas, son su ubicación dentro del tejido urbano, su finalidad social y, sobre todo, su configuración a partir de elementos vegetales.
Las Funciones del Verde Urbano: Es necesario realizar una breve reflexión acerca de qué se entiende por función desempeñada por el verde urbano. Se trataría de aquellas acciones y efectos de la vegetación que redundan en beneficios directos o indirectos para los ciudadanos o para el medio ambiente urbano
1. Función ecológica: recoge todas aquellas alteraciones en el medio ambiente urbano resultantes de la actividad vegetal en la ciudad, de las que se benefician de una manera directa o indirecta los ciudadanos.
1.2. Variaciones en la composición atmosférica
1.2.1. Absorción de gases tóxicos
1.2.2. Secuestro de CO2
1.2.3. Producción de oxígeno
1.2.4. Reducción de ozono
1.2.5. Retención de polvo y de materiales residuales
1.2.6. Acción antiséptica.
1.3. Acciones climáticas
1.3.1. Variación de la incidencia de la radiación solar
1.3.2. Variación de la velocidad y dirección del viento
1.3.3. Variación de la temperatura y humedad del aire
1.3.4. Ahorro de energía
1.4. Conservación del agua y reducción de la erosión
1.5. Contaminación acústica
1.6. Aumento de la biodiversidad
1.7. Contrapartidas no deseadas
2. Función económica: engloba todo tipo de beneficios económicos, tanto directos como indirectos, generados por la presencia de zonas verdes y por su gestión.
2.1. Beneficios directos
2.1.1. Ahorro energético y sanitario
2.1.2. Productos materiales
2.1.3. Empleos directos
2.2. Beneficios indirectos
2.2.1. Aumento del valor de la propiedad
2.2.2. Fomento del negocio
2.2.3. Impulso de la actividad turística
2.3. Balance coste-beneficio
3. Función social: conjunto de efectos generados por la presencia de espacios verdes urbanos, que afectan de manera directa a la vida social en la ciudad.
3.1. Valor terapéutico
3.1.1. Beneficios psicológicos
3.1.2. Beneficios no psicológicos
3.1.3. Prejuicios para la salud
3.2. Beneficios en el desarrollo social y personal
3.3. Subfunción simbólico-cultural
3.4. Miedo, discriminación y actividades ilícitas
4. Función de planificación urbana: papel que juegan las áreas verdes en la configuración de la estructura urbana.
5. Función multidimensional: recoge los beneficios que son comunes a varias funciones y, por lo tanto, no pueden ser incluidos en una sola de las categorías establecidas.

Ville durable

COM

SOURCE:COMITÉ 21 - Le Réseau des acteurs du Développement durable. Du Quartier a la Ville Durable (France)

La notion de "ville durable" invite les acteurs territoriaux à repenser la ville dans une approche intégrée, prenant en compte les principes de cohérence, d’amélioration continue et de gouvernance partagée et respectant l’interdépendance des exigences environnementales, économiques et politiques. Les différents usages d’une ville : déplacements, habitat, activités économiques, loisirs, etc. doivent être envisagés selon la prise en compte des finalités du développement durable comme la lutte contre le changement climatique, la préservation des ressources, l’économie sociale et environnementale, la santé et le bien-être de tous, la coopération internationale, l’éducation au développement durable.

GEO

SOURCE:Géo Confluences/ Ressources de géographie pour les enseignants. Le développement durable, approches géographiques. Vocabulaire et Notion Générales (France)

Les ensembles urbains concentrent aujourd’hui plus de la moitié de la population mondiale absorbant 75% des ressources de la planète et elles sont responsables de 80% des émissions de CO2. Aussi, le projet de ville (ou de métropole) durable ne peut se comprendre en dehors de ce contexte, des mutations qui affectent l’habitat devenant urbain à une échelle et à un rythme sans précédent dans l’histoire. Simultanément, la ville s’étale et se disperse, des morphologies d’archipel se dessinent, les sentiments de solidarité collective tendent à se diluer. Dans ces conditions, le "durable" est au temps ce que le "global" est à l’espace et l’on peut définir la ville durable ainsi :
- une ville capable de se maintenir dans le temps, de garder une identité, un sens collectif, un dynamisme à long terme,
- une ville qui doit pouvoir offrir une qualité de vie acceptable en tous lieux et des différentiels maîtrisés entre les cadres de vie. Cette exigence appelle une mixité sociale et fonctionnelle, ou, à défaut, des stratégies pour favoriser l’expression de nouvelles proximités.
Une ville durable est, en conséquence, une ville qui se réapproprie un projet politique et collectif, renvoyant à grands traits au programme défini par l’"Agenda pour le XXIe" siècle" (Agenda 21) adopté lors de la Conférence de Rio en 1992.

Vulnerabilidad climática

FEMP

SOURCE:Federación Española de Municipios y Provincias + Red Española de Ciudades por el Clima, Estrategia local de cambio climático. (Spain)

Medida en que un sistema es capaz de afrontar los efectos negativos del cambio climático, incluidos la variabilidad climática y los fenómenos extremos. La vulnerabilidad está en función del carácter, la magnitud y el índice de variación climática a que está expuesto un sistema, su sensibilidad y su capacidad de adaptación. Vulnerabilidad = Riesgo (impactos climáticos adversos) – Adaptación.

Vulnerability

UNISDR

SOURCE:United Nations Service for Risk Reduction - Terminology - 2009

The characteristics and circumstances of a community, system or asset that make it susceptible to the damaging effects of a hazard.
Comment: There are many aspects of vulnerability, arising from various physical, social, economic, and environmental factors. Examples may include poor design and construction of buildings, inadequate protection of assets, lack of public information and awareness, limited official recognition of risks and preparedness measures, and disregard for wise environmental management. Vulnerability varies significantly within a community and over time. This definition identifies vulnerability as a characteristic of the element of interest (community, system or asset) which is independent of its exposure. However, in common use the word is often used more broadly to include the element’s exposure.